Fiches individuelles


VIVAREZ Alexandre
Naissance : 15 mars 1695 à Sète 34
Acte : vue 147/167 - 1 MI EC 301/1 Saint-Joseph.- Baptêmes, mariages, sépultures (1659-1676, 1677-1699) 1659-1699
Témoin : entre 1725 et 1727 à Sète 34 Saint Joseph ( Source )
- le 18 mai 1725, à l'inhumation de son père Alexandre VIvarez ;
- le 2 mars 1727, à l'inhumation de sa mère Françoise Artaud.

Père : VIVAREZ Alexandre ( 1648 - 1725 )
Mère : ARTAUD Françoise ( 1657 - 1727 )

VIVAREZ Alexandre
VIVAREZ Alexandre
VIVAREZ Estienne
BENEZECH Antoinette
ARTAUD Françoise
ARTAUD Jean
FABRE Marie




VIVAREZ Alexandre - 464
boulanger

Naissance : 14 octobre 1720 à Sète 34 paroisse Saint-Joseph ( Source1 Source2 Source3 )
Baptême : 20 octobre 1720 à Sète 34 paroisse Saint-Joseph ( Source )
Témoins : GRANAL Isabeau ( 1661 - 1741 )
/ VIVAREZ Hilaire ( <> 1688 & 1702 - 1773 )
/ VIVAREZ Alexandre ( 1648 - 1725 )
/ GOUDARD Simon Pierre ( 1648 - 1739 )
/ DALADILHE ? ( (e) 1680 - ? )

Enfants : ( Source )
"cinq enfants, une fille et quatre fils :
- la fille est la grand-mère de la première femme de Jean-Louis François RIEUNIER
- un des fils, Guillaume, est devenu sous la Révolution le célèbre Abbé Vivares
- un autre, Hilaire est le trisaieul de l'auteur de ces lignes." (Maurice Herrmann)
Titre : ( Source )
"Alexandre VIVAREZ Officier de Justice, noble, Consul de CETTE, appelé "Messire", né en 1720 et mort en 1759..." (Maurice Herrmann)
Je n'ai retrouvé aucun document attestant les titres avancés par oncle Maurice (officier de justice, messire...) qui me paraissent très sujets à caution. (HF - 26/11/2013)
Décès : 8 décembre 1759 à Sète 34 ( Source1 Source2 Source3 )
Inhumation : 9 décembre 1759 à Sète 34 église des Pénitents ( Source )
Témoins : GUINARD ? ( (e) 1710 - ? )
/ TERRIN ? ( (e) 1710 - ? )


Père : VIVAREZ Hilaire ( <> 1688 & 1702 - 1773 )
Mère : GOUDARD Marguerite ( ~ 1701 - ? )

Union : SERANE Elisabeth ( 1718 - 1791 )
Contrat de mariage : 26 juin 1752 ( Source )
Maître MERLE - 0019 90/19 - AD 34; -2E 90/19.
Mariage : 26 juin 1752 à Sète 34 Saint Louis ( Source1 Source2 )
Sur son acte de mariage, il est dit boulanger.
Témoins : AUBENQUE Marguerite ( 1685 - 1764 )
/ GOUDARD Marguerite ( ~ 1701 - ? )
/ BÉNÉZET Jean ( (e) 1710 - ? )
/ TINEL Jean ( (e) 1710 - ? )
/ RIVET Martin ( (e) 1710 - ? )
/ VIVAREZ Hilaire ( 1731 - 1794 )
/ SERANE Jean ( 1702 - ? )
/ MARTINENQ Jean Pierre ( (e) 1720 - ? )
/ VIVAREZ Guillaume ( 1734 - ? )
/ PANAYOTY Antoine ( (e) 1710 - ? )
/ BRUNEL ? ( (e) 1710 - ? )
/ SERANE Charles ( 1721 - ? )
/ CALMY L. ( (e) 1710 - ? )
/ VIVAREZ Hilaire ( <> 1688 & 1702 - 1773 )

Enfants : VIVAREZ Hilaire Baptiste ( 1753 - 1800 )
VIVAREZ Guillaume ( 1756 - ? )
VIVAREZ Barthélémy ( 1757 - ? )
VIVAREZ Jacques ( 1758 - ? )
VIVAREZ Marguerite ( ~ 1760 - ? )
VIVAREZ Alexandre
VIVAREZ Hilaire
VIVAREZ Alexandre
ARTAUD Françoise
GOUDARD Marguerite
GOUDARD Simon Pierre
GRANAL Isabeau




VIVAREZ Alexandre Marie "Benjamin"
banquier

Naissance : 1819 ( Source1 Source2 Source3 )
Témoin : 26 juin 1855 à Sète 34 ( Source )
Décès : 1890 ( Source1 Source2 )

Père : VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph ( 1777 - 1855 )
Mère : PAGÈS Thérèse ( 1780 - 1863 )

Union : MARTIN Caroline-Marie ( ~ 1819 - ? )
Mariage : 1865 ( Source1 Source2 )
Enfant : VIVAREZ Hilaire ( 1858 - 1943 )
VIVAREZ Alexandre Marie "Benjamin"
VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph
VIVAREZ Hilaire Baptiste
LUGAN Marie "Anne"
PAGÈS Thérèse
PAGÈS Pierre
AUBENQUE Marie




VIVAREZ Anne
Naissance : 1802 ( Source1 Source2 )
Décès : 1870 ( Source1 Source2 )

Père : VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph ( 1777 - 1855 )
Mère : PAGÈS Thérèse ( 1780 - 1863 )

Union : JOURDAN Phocion ( 1796 - 1847 )
Mariage : 1822 ( Source1 Source2 )
Descendance : ( Source )
"De leur deux filles descendent les Altacin et les Gauthier." (Maurice Herrmann)
Enfants : JOURDAN Fanny Thérèse ( (e) 1825 - 1899 )
JOURDAN Hortense Catherine ( (e) 1825 - ? )
JOURDAN Mélanie Elisabeth ( (e) 1830 - 1908 )
VIVAREZ Anne
VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph
VIVAREZ Hilaire Baptiste
LUGAN Marie "Anne"
PAGÈS Thérèse
PAGÈS Pierre
AUBENQUE Marie




VIVAREZ Anne Amélie
Naissance : 1835 ( Source )
Décès : 1908 ( Source )

Père : VIVAREZ Laurent-Hilaire ( 1805 - ? )
Mère : ROUX Mélanie ( ~ 1805 - ? )

Union : BAILLE Adrien Louis ( 1829 - 1895 )
Mariage : 1855 ( Source )
Enfants : BAILLE Louise ( (e) 1856 - ? )
BAILLE Marguerite ( (e) 1860 - ? )
VIVAREZ Anne Amélie
VIVAREZ Laurent-Hilaire
VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph
PAGÈS Thérèse
ROUX Mélanie
 
 




VIVAREZ Anne-Pauline
Naissance : 1818 ( Source )
Décès : 1818 ( Source )

Père : VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph ( 1777 - 1855 )
Mère : PAGÈS Thérèse ( 1780 - 1863 )

VIVAREZ Anne-Pauline
VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph
VIVAREZ Hilaire Baptiste
LUGAN Marie "Anne"
PAGÈS Thérèse
PAGÈS Pierre
AUBENQUE Marie




VIVAREZ Antoine
Naissance : 9 septembre 1737 à Sète 34 ( Source1 Source2 )
Décès : 29 mai 1738 à Sète 34 ( Source )
Profession : entre 1774 et 1781 ( Source )

Père : VIVAREZ Hilaire ( <> 1688 & 1702 - 1773 )
Mère : GOUDARD Marguerite ( ~ 1701 - ? )

VIVAREZ Antoine
VIVAREZ Hilaire
VIVAREZ Alexandre
ARTAUD Françoise
GOUDARD Marguerite
GOUDARD Simon Pierre
GRANAL Isabeau




VIVAREZ Antoine
philosophe

Naissance : 1791 ( Source )
Décès : 1834 ( Source )

Père : VIVAREZ Hilaire Baptiste ( 1753 - 1800 )
Mère : LUGAN Marie "Anne" ( (c) 1751 - 1803 )

VIVAREZ Antoine
VIVAREZ Hilaire Baptiste
VIVAREZ Alexandre
SERANE Elisabeth
LUGAN Marie "Anne"
 
 




VIVAREZ Antoine Hilaire Joseph
Naissance : 1784 ( Source )
Décès : 1785 ( Source )

Père : VIVAREZ Hilaire Baptiste ( 1753 - 1800 )
Mère : LUGAN Marie "Anne" ( (c) 1751 - 1803 )

VIVAREZ Antoine Hilaire Joseph
VIVAREZ Hilaire Baptiste
VIVAREZ Alexandre
SERANE Elisabeth
LUGAN Marie "Anne"
 
 




VIVAREZ Antoine, Marius, "Salomon"
notaire

Naissance : 29 septembre 1808 ( Source1 Source2 Source3 )
Profession :
Il sera aussi maire de Sète et président de la Chambre des notaires.
Décès : 15 mai 1898 ( Source1 Source2 Source3 )

Père : VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph ( 1777 - 1855 )
Mère : PAGÈS Thérèse ( 1780 - 1863 )

Union : SARRAN de MONTCEAU Jenny ( ? - 1900 )
Descendance : 1837 ( Source1 Source2 )
"Leur descendance sont des Guyon, des Chamsky-Mandajor, des Bonnefon et des Monnier." (Maurice Herrmann)
Mariage : 1837
Ils se marient vraisemblablement après 1835.
Enfants : VIVAREZ Jean Jacques Hilaire ( 1839 - 1911 )
VIVAREZ Marguerite ( (e) 1840 - ? )
VIVAREZ Jules ( (e) 1840 - ? )
VIVAREZ Valentine ( 1841 - 1926 )
VIVAREZ Mario ( 1851 - 1945 )
VIVAREZ Antoine, Marius, "Salomon"
VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph
VIVAREZ Hilaire Baptiste
LUGAN Marie "Anne"
PAGÈS Thérèse
PAGÈS Pierre
AUBENQUE Marie




VIVAREZ Barthelemi
Naissance : estimée 1640
Témoin : 17 décembre 1688 à Sète 34 Saint Joseph ( Source )





VIVAREZ Barthélémy
Naissance : 1757 ( Source )

Père : VIVAREZ Alexandre ( 1720 - 1759 )
Mère : SERANE Elisabeth ( 1718 - 1791 )

VIVAREZ Barthélémy
VIVAREZ Alexandre
VIVAREZ Hilaire
GOUDARD Marguerite
SERANE Elisabeth
SERANE Guilhaume
AUBENQUE Marguerite




VIVAREZ Edmée
Naissance : 1887 ( Source )
Décès : 1964 ( Source )

Père : VIVAREZ Mario ( 1851 - 1945 )
Mère : GUYON Marie ( 1861 - ? )

VIVAREZ Edmée
VIVAREZ Mario
VIVAREZ Antoine, Marius, "Salomon"
SARRAN de MONTCEAU Jenny
GUYON Marie
GUYON Edmond
VIVAREZ Valentine




VIVAREZ Elisabeth-Adrienne
Naissance : 1802 ( Source )
Décès : 1897 ( Source )

Père : VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph ( 1777 - 1855 )
Mère : PAGÈS Thérèse ( 1780 - 1863 )

VIVAREZ Elisabeth-Adrienne
VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph
VIVAREZ Hilaire Baptiste
LUGAN Marie "Anne"
PAGÈS Thérèse
PAGÈS Pierre
AUBENQUE Marie




VIVAREZ Emile "Henry"
polytechnicien, ingénieur des mines

Naissance : 13 mai 1847 à Sète 34 quai du Nord, n° 16 ( Source1 Source2 )
Diplôme : 1863
Biographie : ( Source )
Dans ses mémoires, Maurice Herrmann consacre un long passage à son grand-oncle Henry Vivarez (le frère de sa grand-mère Emma Vivarez, l'épouse d'Albert Herrmann) :

"Je veux ici m’arrêter quelques peu sur cet éminent ingénieur que fut Henry VIVAREZ doué de tous les dons ou presque.
Né en mai 1847, à SETE, dans cette famille de prospères négociants en vin, élevé au lycée de MONTPELLIER puis à Sainte-Barbe, il entra en 1867 à l’école Polytechnique et en 1867 à l’Ecole Supérieure des MINES où le trouva la guerre de 1870. Il fait la campagne comme capitaine au 45è régiment d’artillerie. La guerre terminée, et muni de son diplôme d’ingénieur, il débute alors à la compagnie des Allumettes pour passer bientôt aux chemins de fer d’Orléans. En 1881, il entre en qualité de secrétaire général et d’ingénieur conseil à la Société des Etablissements Lazare WEILER qui devint les Tréfileries du HAVRE. Il y reste près de dix-sept ans. Dès 1886, la croix de la légion d’Honneur vient récompenser sa précieuse collaboration. Cette même année, il est nommé secrétaire de la Chambre Syndicale des Industries Electriques et expert près du Tribunal de Commerce de la SEINE. En 1889, il devint membre du Comité Technique d’Electricité à l’exposition universelle. En 1892 il est élu vice-président de la Chambre Syndicale d’Electricité et en 1909 est désigné comme expert près les tribunaux – ardent propagateur du transport à distance de l’électricité par câbles, il assista, seul Français avec Lazare WEILER à y être invité, à l’expérience à FRANCFORT d’un tel transport ; une génératrice et un moteur, placés côte à côte dans un atelier, sont reliés par un câble de fil tréfilé, épandu dans la campagne sur plusieurs kilomètres, le courant induit par la génératrice actionnant le moteur et prouvant cette facilité de transport.
   Fondateur et Président de la Société Archéologique, Historique et Artistique « LE VIEUX PAPIER », il ne sut s’y faire que des amis sincères et des collaborateurs tous dévoués à son œuvre. Collectionneur d’images rares, d’estampes, de gravures (en particulier celles de son homonyme et vraisemblablement parent François VIVAREZ), d’imprimés et d’autographes, et d’une importante collection de timbres légués au musée postal et qui représente son fonds primitif, il est de plus auteur de nombreuses correspondances d’ordre scientifique, de plusieurs ouvrages techniques sur les publications industrielles de l’électricité, et d’une série d’opuscules sur les transformations successives des moyens de locomotion, des instruments de travail, des modes d’écriture, des papiers, de la coiffure, de la gravure, de la photographie, des vignettes, des timbres, etc. Il a produit aussi quelques poèmes et plusieurs centaines de sonnets sur des sujets variés et sur ses impressions du moment.
   Trois fois par an environ, mon grand’oncle Henry venait, toujours célibataire, retrouver sa famille à SETE, restant quelques jours auprès de sa mère très âgée. Régulièrement, il venait chez mes parents et, dès son apparition, saluée par nos cris de joie dans la pièce qui servait de salle d’études pour nous trois les enfants, il acceptait de dessiner sur notre « tableau noir ». Bâton de craie en main, en quelques minutes, nous voyions se camper un beau personnage, par exemple un hussard des armées de Napoléon à cheval, à l’uniforme duquel il ne manquait pas une soutache, pas un bouton. Nous adorions ce vieil oncle et j’en garde un souvenir ému. Il s’éteignit chez lui à Paris, 12 rue de Berne, le 24 février 1915, et repose dans le caveau de famille, à SETE, au « Cimetière marin », où la tombe de ma famille rappelle son souvenir et est ornée de la palme commémorative représentée ci-contre. Je crois intéressant d’insérer ici l’article qu’a publié Lazare WEILER sur son collaborateur intime et ami, après sa disparition, qui éclaire une autre face et non des moindres, de la personnalité d’Henry VIVAREZ.
   J’ai connu VIVAREZ en 1881, nous nous sommes rencontrés pour la première fois à cette superbe exposition d’électricité, la première qui consacra cette science alors encore si nouvelle et où, dans les différents congrès qui se réunirent, on traita pour la première fois la question si importante des unités électriques et toutes celles qui eurent dans la suite une consécration pratique d’une si grande envergure : fabrication des dynamos, lumière électrique, conducteurs et surtout transport de force, qui donna lieu à double discussion et que M. Marcel DESPREZ traita au congrès international de 1881.
   Henry VIVAREZ était comme moi un passionné de cette science nouvelle. Il avait été le bras droit du célèbre JABLOSKOFF, physicien russe qui, pour la première fois, présenta en France la lampe à arc voltaïque.
   Petit à petit, nous nous rapprochâmes, VIVAREZ était aussi depuis longtemps le correspondant de la grande revue scientifique anglais, les ENGINEERS, et c’est en venant me demander des indications sur mes propres travaux que nous fîmes définitivement connaissance et que notre amitié ne fit que grandir, sans qu’elle se soit jamais affaiblie, jusqu’au jour de sa mort. VIVAREZ avait dès le début compris comme moi le rôle considérable que jouerait dans les manifestations de l’électricité la question des conducteurs. Prendre le courant à sa génération même et le transporter là où il devait être utilisé, constituait un problème redoutable, qu’il s’agisse de force, de lumière, de chaleur, de mouvement. L’élément conducteur aura joué autant au point de vue scientifique qu’au point de vue industriel un rôle considérable. J’avais de mon côté, avec le concours de mes vieux amis, Georges BRUNEL, professeur à la Faculté des sciences, et Henri LEBLOND, normalien comme lui, qui s’était spécialisé dans l’enseignement de l’électricité aux officiers de marine, étudié la question des alliages adaptables au transport du courant. BRUNEL et H. LEBLOND avaient vingt ans comme moi, nous étions pleins d’ardeur et VIVAREZ, déjà mûri par une expérience qui nous faisait défaut, vint couronner notre effort en mettant, si je puis ainsi dire, de la méthode et de l’ordre dans nos travaux. A partir de ce moment, VIVAREZ ne me quitta plus : pendant plus de vingt ans, il était devenu mon collaborateur fidèle et on peut dire que par son énergie, sa volonté, sa haute intelligence et son incomparable culture, il fut parmi ceux qui donnèrent à la science électrique l’essor qui a produit des progrès si rapides depuis.
   Nous visitâmes ensemble toutes les organisations où se révélèrent les conquêtes de l’électricité. Il m’accompagna à NAUEN près de FRANCFORT-SUR-MEIN où nous assistâmes, pour la première fois, à un transport de force à longue distance.
   C’était la deuxième expérience qu’on tentait sur cet important problème ; la première avait été faite sur une distance d’environ quarante kilomètres entre CREIL et PARIS. Placé sous l’activité directe de Marcel DESPREZ, avec la collaboration d’une Commission dont faisait partie SARTIAUX, Directeur de la Compagnie du Nord, VIVAREZ et moi nous allâmes ensemble à l’Exposition de VIENNE et nous fîmes partie du Congrès télégraphique auquel le gouvernement français nous délégua, en même temps que quelques autres personnalités scientifiques, parmi lesquelles M. Georges COCHERY, devenu après Ministre des Finances et notre excellent ami LEBLOND, dont il est parlé plus haut.
   LEBLOND qui est une des gloires scientifiques françaises était aussi modeste que savant pour toutes les questions concernant sa profession, mais comme M. INGRES qui se prétendit un grand violoniste, LEBLOND aimait à se révéler philologue à VIENNE. Il nous racontait les extases qu’il avait suggérées aux cochers de fiacres par la pureté des questions qu’il leur posait dans leur dialecte. Par contre, il se fâchait tout rouge lorsqu’au restaurant un garçon ne le comprenait pas du premier coup : « Tu vois ce garçon, il ne sait pas un mot d’allemand, il ne me comprend pas. » VIVAREZ aimait à collectionner les histoires de philologie de mon ami LEBLOND. Il avait été avec lui, dans un petit théâtre viennois où on jouait en un dialecte assez difficile à comprendre. Visiblement, LEBLOND ne comprenait rien mais il riait quand le public riait et malicieusement, VIVAREZ lui dit ce jour là : « Pouvez-vous m’expliquer ce qui vous a tant fait rire ? » Alors, LEBLOND un peu embarrassé, lui dit : « Oh ! Oh ! je n’ai pas tout compris. Je n’ai compris que quelques calembours, mais ils étaient mauvais. »
   Une histoire que VIVAREZ aimait le plus à raconter, c’est celle de leur voyage à BUDA-PEST, en compagnie de LEBLOND qui, en mon absence, leur avait servi d’interprète. Il y avait avec eux Georges COCHERY et quelques autres savants délégués du gouvernement. Après avoir rempli la mission dont ils étaient chargés, ils convinrent d’aller visiter le fameux établissement de bains qui jouit en Hongrie d’une réputation universelle. En entrant, ils remarquèrent dans le hall de marbre blanc une grande pancarte sur laquelle étaient gravés les différents services qu’on pouvait demander à l’administration. « Que veut donc dire SCHRAPFEN ? » dit Georges COCHERY à LEBLOND. LEBLOND n’en savait rien. Mais naturellement, il ne pouvait pas avoir l’air de l’ignorer : « C’est une espèce de friction, dit-il à M. COCHERY, c’est très agréable. » M. COCHERY entra dans son bain ; au bout d’un instant, il sonna l’homme de service et lui dit laconiquement : « SCHRAPFEN BITTE… » Au bout d’un instant, un Monsieur convenablement vêtu pénétra dans la pièce où était COCHERY, muni d’une boîte en élégant acajou. Il fit mettre COCHERY sur le dos et se mit à lui appliquer des ventouses. COCHERY se mit à hurler. GANZ GUT, GANZ GUT, voulant dire par là qu’il en avait assez. L’homme à la boîte en acajou comprit qu’il trouvait cela bon et continua de plus belle. Cette scène ne tarda pas à se transformer en un véritable pugilat et le pauvre LEBLOND dut supporter une fameuse scène après la séance. Mais lui-même de son côté était entré au bain et lorsqu’il eut fini de se laver, il voulut réclamer du linge et sonna : « Du linge, dit-il, comment dit-on, du linge… » et il fit au garçon des gestes avec sa main comme quelqu’un qui veut s’essuyer… « J’ai compris », reprit le garçon qui savait par hasard quelques mots de français ; et au bout d’un instant il pénétra au salon avec une femme, ce qui fit faire à notre pudique ami LEBLOND des gestes de protestation les plus désordonnés. Henry VIVAREZ se faisait une heure de bon sang quand il racontait cette histoire et notre excellent ami LEBLOND fut naturellement le premier à en rire, et de loin en loi, quand j’ai la grande joie de le retrouver, à présent qu’il dirige l’enseignement électrique aux officiers de marine à l’école supérieure de TOULON, il me dit (surtout lorsqu’il y a du monde) : « Tu ne vas pas te mettre à raconter l’histoire de BUDA-PEST ! »
   Vers cette époque-là, VIVAREZ avait été nommé Chevalier de la Légion d’honneur et c’est un des chagrins de ma vie qu’il n’ait pas été fait officier…
   Il a fait avec moi le traité des Lignes et Transmissions électriques et je puis dire que c’est lui qui a eu le plus grand mérite.
   Non seulement VIVAREZ était un grand ingénieur, mais il avait une puissance d’assimilation extraordinaire et nul ne savait exposer avec plus de clarté que lui les questions d’électricité les plus arides. Son extrême modestie l’empêchait de se mettre en vedette et si son âme de poète n’avait pas souvent dominé son beau cerveau scientifique, il se serait révélé comme une des plus belles gloires de ce pays."
Décès : 24 février 1915 à Paris 75 12 rue de Berne ( Source1 Source2 )
Inhumation : après 24 février 1915 à Sète 34 Cimetière marin, cimetière D, pourtour droite n° 15, concession Humbert ( Source )
C'est la mention précise de ce lieu d'inhumation qui a permis de retrouver la concession Humbert et donc de la sauver en décembre 2012. (HF - 02/07/2013)

Père : VIVAREZ Pierre "Jacques" ( 1807 - 1876 )
Mère : HUMBERT Jeanne "Irma" ( 1816 - 1911 )

VIVAREZ Emile "Henry"
VIVAREZ Pierre "Jacques"
VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph
PAGÈS Thérèse
HUMBERT Jeanne "Irma"
HUMBERT Henri Frédéric
CROUZET Junie "Sophie"




VIVAREZ Emma Félicie dite Grand-mère Herrmann - 29
Naissance : 1 juin 1835 à Sète 34 ( Source1 Source2 Source3 )
Témoins : JOURDAN Benoît ( (c) 1789 - ? )
/ DANIEL Jean Joseph Arnaud ( (c) 1796 - ? )
/ MERCIER Jean Mathieu "Charles" ( (e) 1785 - ? )

Lettre : avril 1875 à Marseille 13 ( Source )
En avril 1875, alors qu'elle est en séjour à Marseille et que le reste de sa famille est à la Baraquette, elle reçoit une lettre de son père Jacques Vivarez et de son beau-frère Ernest Herrmann :

"Jeudi 17 avril 1875


Ma chère Emma

Ta lettre du 15 nous est parvenue utilement à bonne date. Elle nous signale le retard que vous avez éprouvé et qui vous empêcha, au croisement de voir Hilaire et Mme Coffard (?) qui eux aussi avaient eu le même désagrément pour la même cause et furent obligés de faire 4 Kilomètres à pied, pour atteindre Rédasside. Ils n'eurent pas d'autre inconvénient que cette marche et le retard pour arriver ici au convoi de 9 h soir (sic). On a signalé un accident analogue au convoi du lendemain mais avec aggravation d'accidents graves de personnes une tuée deux blessées.

Je remarque une chose principale dans ta susdite. Elle dit bien que vous êtes un peu --- à l'hôtel, mais toi pas plus que les autres. Tu as du nécessairement faire, en ce qui te concerne, une appréciation évasive et peu suffisante et tu n'es pas là sans y avoir mis quelque intention. Ce qui par suite nous laisse dans quelqu'incertitude jusqu'à réception de nouveaux avis plus détaillés ou de la rentrée qui n'est pas encore déterminée. Ton état, quoiqu'assez amélioré pour avoir permis de figurer un départ méritant quelques renseignements personnels plus étendus même quoique le voyage n'eut pas eu de contrariété sirocité ?? imprévus. Nous ne pouvons donc que te faire parvenir nos justes plaintes. Une expression plus grave exprimerait mieux notre mécompte.

Nous avons lieu de craindre que vous aurez été peu secondés (?) par le tems (sic) pour vos premiers jours d'arrivée à Marseille. Hier et avant hier le vent du sud soufflait avec violence et nous avons eu quelque peu de pluie. Aujourd'hui, le vent a calmé sensiblement. Les enfants ont pu néanmoins faire leur après-midi à la Baraquette. Ernest en prévision de pluies plus abondantes, avaient nettoyé les récipients des citernes et Henri lui et moi nous avions déblayé le dessus de la petite terrasse qui déverse dans la citerne d'arrosage. Avec le tems (sic) humide j'avais cru une énorme apparition de chenilles en évidence dans les arbres et je me proposais de m'exercer à leur chasse comme les jours précédents. Je voulus en constater le nombre et n'en tuai que 110 à 120. Je trouvai ce chiffre médiocre ( ?). Je remarquais que les moines ( ?) étaient comparativement moins nombreuses. C'était le contraire les premiers jours. J'ai donc lieu d'espérer que nous pourrons parvenir à les éclaircir.

Les enfants sont assez sages quoique pourtant Jacques soit resté quelque peu en délicatesse avec l'oncle Henry une partie de la journée parce qu'ayant eu la faiblesse de partager le lit de sa nourrice la nuit précédente, il en avait eu une telle honte à le confesser qu'il avait refusé de descendre au premier toute la matinée. Cela s'est pourtant --- cet après midi depuis son retour de la Baraquette il a fait la visite avant et après J---, en costume d'apparat tenant le rôle de Dame coiffé d'un suberbe nouveau chapeau de sa confection, ayant Abel pour son domestique aux modestes gages de 300 francs par mois.

Je ne sais si Henry dans sa lettre qu'il t'a écrit hier, t'a avisé d'une lettre de Mme Bermont arrivée à ton adresse. On l'a tenu jusqu'à ton retour. Je ne l'ai pas en ce moment auprès de moi en ce moment (sic) pour le lui demander mais je suppose qu'il n'aura pas négligé cette occasion de garnir quelques lignes de Louise (?) puisqu'il disait n'avoir pas de motif suffisant pour remplir l'espace.

Ernest se proposait d'écrire aujourd'hui. Il ne le fera pas probablement puisque je le fais moi et il joindra à la présente une lettre qu'Abel a préparé ce matin à son Père.

Il est arrivé à la maison 6 sacs café (sic) dont 4 ont été déjà divisées par Benjamin à divers membres de la famille. Il en reste encore 2 pour lesquels j'ignore la destination et Ernest n'a pas de renseignement fixe à cet égard. A la rentrée d'Albert, nous saurons la part proportionnelle que nous devons reprendre pour nous.

Marius est venu ce matin engager Henry pour un dîner ce jour à 5 Hres à leur Baraquette avec Guyon attendu ce soir de Toulouse et les officiers de son ----. C'est un diner d'hommes seulement.

Henry est toujours sans avis de M. D F---. Je le regrette de plus en plus. Cette attente a cela de facheux qu'il reste normalement engagé tandis que ce monsieur pourrait fort bien prendre des dispositions définitives ailleurs et renoncer à son concours.

Ta mère a eu une journée de migraine mais s'est passé et elle va bien maintenant. Grand mère Humbert est aussi en état convenable malgré qu'elle se plaigne chaque matin de ses mauvaises nuits. Mais dans la journée cela se dissipe et y aide beaucoup par sa nature exceptionnelle. On aura beaucoup à t'apprendre au retour de ses faits et dires qu'on est censés d'avoir écrit avec nombreux détails.

Je ne doute pas que Georges et Gaston vous sont de distraction certainement agréable et non d'occupation facheuse pouvant un seul instant vous faire regretter de les avoir pris avec vous. Ils sont assez raisonnables pour apprécier qu'ils sauraient, sans faire par avance des promesses banales, vous prouver leur reconnaissance de vos complaisances par le travail assidu du restant de l'année et avenir qui suivra.

Si la durée de votre absence après réception de la présente se prolongeait assez pour recevoir encore de vos nouvelles, je te prie instamment de prendre en considération les premières lignes de celle-ci en nous donnant quelques circonstances de la ---, arrivée, séjour et mouvements divers de promenade et explorations de la ville en ce qui se rapporte à ton état personnel de santé. C'est surtout ce qui nous intéresse le plus car nous ne sommes pas encore convaincus que tu n'aies pas trop préjugé de tes forces en faisant un pareil voyage dans une ville de si grand mouvement de préférence à un séjour momentané plus tranquille qui était primitivement projetté (sic).

Ernest était allé à la Baraquette après dîner, pour apprécier les bons effets de la pluie d'hier soir et de la nuit. Il nous rapporte que c'est à peine appréciable.

Une lettre de Coulondres (?) arrivée hier nous demande l'argent pour la semaine qu'Henry doit lui envoyer demain. Il avait envoyé en même temps 3 bottes asperges (sic) et 32 œufs. Je n'ai pas su ou mieux ne me suis pas informé s'il donnait quelques renseignements bons à connaître.

Adieu pour vous tous et au nom de tous dans l'attente anxieuse de --- bientôt des résultats favorables de votre promenade de ces quelques jours.

Je vous embrasse cordialement.

Illisible (Jacques Vivavez)



Ma chère sœur,

Ton père ---------- t'a donné dans les trois pages ci contre des détails sur tout et sur tous aussi je n'ajoute qu'un petit bonjour pour vous tous grands et petits. Je regrette que le temps ne vous favorise pas davantage. Je suis allé à la Baraquette après dîner pour voir les effets de la pluie et jardiner un petit moment. Les enfants n'ont pas pu y aller à cause du temps à leur grand regret mais Marc Benoît est venu passer l'après-midi et ils ont charrié leurs joujoux dans la salle à manger et s'en sont donnés à cœur joie. Ton père vient de partir pour la Baraquette pour entamer son massacre de chenilles.

Hier je t'ai fait suivre à Marseille une lettre de Mme Bermont (?).

Nous attendons avec quelque impatience une nouvelle lettre de vous nous disant surtout --- les premiers moments de ce -----.

Sur ce je vous embrasse tous de cœur grands et petits.

Votre

Ernest

Le courrier du soir arrive sans lettre de toi !!!"

Vieillesse : 1900 ( Source )
Jean Médard raconte dans ses mémoires que, plus âgée, elle habita chez son fils : "Dans mon enfance mes futurs beaux-parents, les Jacques Herrmann habitaient quai du Nord (plus tard quai Noël Guignon) au second étage d'une maison bourgeoise. Au rez-de-chaussée étaient les bureaux de mon beau-père, une Cie de Wagons-Foudres. Au premier vivaient sa mère, « Grand'mère Herrmann » [Emma Vivarez] et sa grand'mère « Grand'mère Vivarez » [Irma Humbert], la première encore très active, l'autre très âgée et importante. C'était la doyenne de la paroisse, elle est morte à 95 ans et mon grand'père [Lucien Benoît] allait lui « faire le culte » chaque semaine.
   Par son père, Pierre Jacques Vivarez, grand'mère Herrmann était apparentée à toutes les vieilles familles catholiques de Sète. Le grand'père Vivarez [Jacques Vivarez] était en effet d'origine catholique et son mariage avec une protestante fit scandale. Je ne sais quelle congrégation de la ville le brûla même en effigie."
Décès : 18 septembre 1913 ( Source1 Source2 )
Inhumation : 1913 à Sète 34 Cimetière marin, cimetière D, pourtour droite n° 15, concession Humbert ( Source )

Père : VIVAREZ Pierre "Jacques" ( 1807 - 1876 )
Mère : HUMBERT Jeanne "Irma" ( 1816 - 1911 )

Union : HERRMANN Valentin "Albert" ( 1828 - 1890 )
Mariage : 26 juin 1855 à Sète 34 ( Source1 Source2 Source3 Source4 )
"Albert Herrmann a épousé une Sétoise, Emma Vivarez. Il est mort assez jeune." (Jean Médard -Mémoires)
Témoins : BRESSON Charles ( (e) 1810 - ? )
/ VIVAREZ Jean-Félix "Edouard" ( 1813 - 1877 )
/ HERRMANN Gustave ( 1830 - 1891 )
/ VIVAREZ Alexandre Marie "Benjamin" ( 1819 - 1890 )
/ HUMBERT Jeanne "Irma" ( 1816 - 1911 )
/ VIVAREZ Pierre "Jacques" ( 1807 - 1876 )
/ PERIDIER Louis André ( (c) 1811 - ? )

Enfants : HERRMANN Georges ( 1858 - 1910 )
HERRMANN Gaston ( 1860 - <> 1918 & 1918 )
HERRMANN Abel ( 1865 - 1941 )
HERRMANN Jacques ( 1868 - 1926 )
VIVAREZ Emma Félicie
VIVAREZ Pierre "Jacques"
VIVAREZ Jean-Baptiste "Hilaire" Joseph
PAGÈS Thérèse
HUMBERT Jeanne "Irma"
HUMBERT Henri Frédéric
CROUZET Junie "Sophie"




VIVAREZ Estienne - 3 712
Naissance : vers 1599 à Bouzigues 34
A noter : l'âge indiqué sur son acte de décès est "80 ans ou environ", ce qui donnerait une naissance en 1596 et donc un grossesse à l'âge de11 ans pour sa mère, dont l'année de naissance calculée est à la base 1585 (décès en 1640à "55 ans ou environ"). En admettant une marge d'erreur de trois ans dans les âges indiqués sur les deux actes, celui de la mère et du fils; cela donne un âge plus plausible pour cette grossesse. (HF - 03/12/2013)
Source première : acte de baptême de son fils Alexandre le 9 février 1648 à Bouzigues.
Décès : 27 mai 1676 à Sète 34 paroisse Saint-Joseph ( Source1 Source2 )
Inhumation : 27 mai 1676 à Sète 34 cimetière de la paroisse Saint Joseph ( Source )
Témoins : CONSTANT Jean ( (e) 1630 - ? )
/ ESTIVAL Claude ( (e) 1630 - ? )
/ BESSOLES Anthoine ( (e) 1640 - ? )
/ ARNAUD Pierre ( (e) 1630 - ? )


Père : VIVAREZ Guilhaume ( (e) 1575 - ? )
Mère : LIGAGNE Marguerite ( ~ 1582 - 1640 )

Union : BENEZECH Antoinette ( (c) 1609 - 1674 )
Contrat de mariage : 7 février 1633 à Loupian 34140 ( Source )
Me ASSAS - 0415 - AD 34 - 2E 49 101
Enfants : VIVAREZ Hilaire ( (e) 1640 - ? )
VIVAREZ François ( 1640 - ? )
VIVAREZ Alexandre ( 1648 - 1725 )
VIVAREZ Estienne
VIVAREZ Guilhaume
 
 
LIGAGNE Marguerite
 
 




VIVAREZ Etienne
Naissance : 18 novembre 1679 à Sète 34 paroisse Saint-Joseph ( Source )
Baptême : 26 novembre 1679 à Sète 34 Saint Joseph ( Source )
Témoins : VIVAREZ Alexandre ( 1648 - 1725 )
/ ARBOUSSIER Estienne ( (e) 1640 - ? )
/ ARTAUD Etienne ( 1657 - ? )
/ VIVAREZ Hilaire ( (e) 1640 - ? )
/ DAVIE Louise ( (e) 1655 - ? )
/ OLIVIER André ( (e) 1640 - ? )
/ BENEZECH François ( (e) 1640 - ? )
/ CAROLES ? ( (e) 1630 - ? )


Père : VIVAREZ Alexandre ( 1648 - 1725 )
Mère : ARTAUD Françoise ( 1657 - 1727 )

VIVAREZ Etienne
VIVAREZ Alexandre
VIVAREZ Estienne
BENEZECH Antoinette
ARTAUD Françoise
ARTAUD Jean
FABRE Marie




VIVAREZ François
Naissance : mai 1640 ( Source )
Baptême : 20 mai 1640 à Bouzigues 34 ( Source )

Père : VIVAREZ Estienne ( ~ 1599 - 1676 )
Mère : BENEZECH Antoinette ( (c) 1609 - 1674 )

VIVAREZ François
VIVAREZ Estienne
VIVAREZ Guilhaume
LIGAGNE Marguerite
BENEZECH Antoinette
BENEZECH Isaac Jean
AUREILHON Catherine




VIVAREZ François
Naissance : 28 septembre 1701 à Sète 34
Acte : vue 139/169 - 1 MI EC 301/1 Saint-Joseph.- Baptêmes, mariages, sépultures 1677-1721

Père : VIVAREZ Alexandre ( 1648 - 1725 )
Mère : ARTAUD Françoise ( 1657 - 1727 )

VIVAREZ François
VIVAREZ Alexandre
VIVAREZ Estienne
BENEZECH Antoinette
ARTAUD Françoise
ARTAUD Jean
FABRE Marie


                     


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