marchand
Naissance : estimée 1680 ( Source )
confirmé par AD de l'Hérault en ligne. (HF - 28 août 2010)
Union : HONIN Gabrielle ( (e) 1680 - ? )
Enfant : MÉJEAN Antoine ( ~ 1710 - ? )
marchand
Naissance : vers 1710 à Lunel 34
Père : MÉJEAN Antoine ( (e) 1680 - ? )
Mère : HONIN Gabrielle ( (e) 1680 - ? )
Union : MÉDARD Jeanne ( 1717 - ? )
Mariage : 23 avril 1730 à Lunel 34 ( Source1 Source2 )
Vérifié directement sur le site des archives départementales de l'Hérault. La non-cohérence entre la date de naissance (vérifiée sur le baptistaire) et celle du mariage, est donc supprimée. (HF - 28 août 2010)
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Enfants : MÉJEAN Antoine ( > 1730 - 1794 )
MÉJEAN Jeanne ( > 1730 - ? )
MÉJEAN Antoine
MÉJEAN Antoine
HONIN Gabrielle
Naissance : estimée 1715 ( Source ) Décès : avant 1771 ( Source )
Union : PENCHINAT Marie ( (e) 1715 - ? )
Enfant : MÉJEAN Alexandre ( (e) 1745 - ? )
Naissance : après 1730 ( Source )
Antoine MÉJEAN voit le jour vraisemblablement après 1730, date du mariage de ses parents.Décès : 22 janvier 1794 à Lunel 34
Un Antoine Méjean meurt à Lunel à cette date, je ne sais s'il s'agit de cet Antoine Méjean-là, je suis tombée par hasard sur son décès dans les tables décennales, et je n'ai pas vérifié dans le registre. (HF - 14/12/2013)
Père : MÉJEAN Antoine ( ~ 1710 - ? )
Mère : MÉDARD Jeanne ( 1717 - ? )
Union : BONAFOUX Marie ( ~ 1730 - ? )
Mariage : 1760 ( Source )
MÉJEAN Antoine
MÉJEAN Antoine
MÉJEAN Antoine
HONIN Gabrielle
MÉDARD Jeanne
MÉDARD Paul
COUDOUGNAN Jeanne
Naissance : après 1730
Jeanne MÉJEAN dite Méjanette est née vraisemblablement après 1730, date du mariage de ses parents.
Père : MÉJEAN Antoine ( ~ 1710 - ? )
Mère : MÉDARD Jeanne ( 1717 - ? )
Union : LACROIX François ( ~ 1730 - ? )
Mariage : 1760 ( Source )
MÉJEAN Jeanne
MÉJEAN Antoine
MÉJEAN Antoine
HONIN Gabrielle
MÉDARD Jeanne
MÉDARD Paul
COUDOUGNAN Jeanne
Naissance : vers 1774
Père : MÉJEAN ? ( ~ 1739 - ? )
Mère : BAZILLE Jeanne ( ~ 1739 - ? )
Union : BAZILLE Jean-Jacques ( ~ 1774 - ? )
Mariage : ( Source ) Domicile du couple : ( Source )
"C'est par eux que Fontfroide, qu'ils lèguent à leur nièce Eugénie Castelnau, entre dans la famille."
MÉJEAN Madeleine
MÉJEAN ?
BAZILLE Jeanne
BAZILLE Paul
Naissance : estimée 1300 à Sumène 30440 ( Source ) Décès : avant 1350 ( Source )
[Ego, Philippa, filia Guillelmi de Ruppe, condami domicelli, do tibi Petri de Monterotondo, marito meo, in dotam, omnia bona mea […] constitutam per dominum Gaucelmum de Castanherio, domicellium, […] Guillelmo de Meiisio, condam Sumenae, primo marito mea]
Union : LA ROQUE (de ) Philippe ( (e) 1315 - ? )
Naissance : vers 1681 ( Source )
Union : MÉDARD Jean ( 1681 - 1751 )
Mariage : 17 novembre 1701 à Lunel 34 ( Source1 Source2 Source3 )
"Du 17 novembre 1701 ont été conjoints en vrai Mariage. Jean Médard et Elisabeth Melonne habitants de Lunel présent Jean Médard son frère. Contrat de mariage passé chez M. Baumes notaire le 18 avril."
Enfants : MÉDARD Jeanne ( 1703 - ? )
MÉDARD Magdelaine ( 1704 - ? )
MÉDARD Catherine ( 1706 - ? )
MÉDARD Jeanne ( 1710 - ? )
MÉDARD Paul ( 1715 - ? )
MÉDARD Elisabeth ( 1717 - ? )
MÉDARD Elisabeth ( 1719 - ? )
propriétaire
Naissance : calculée 1813 ( Source )
Saint Martin MÉNARD voit le jour vraisemblablement en 1813, puisque son acte de mariage en 1845 mentionne qu'il est âgé de 32 ans.
Père : MÉNARD Marc-Antoine ( (e) 1775 - ? )
Mère : VIGNOLE Iglé ( (e) 1775 - ? )
Union 1 : SAUVAGEOL Jeanne Marguerite Anaïs ( ~ 1813 - < 1844 )
Mariage : avant 1844 ( Source )
Ils se marient vraisemblablement avant 1844, puisque, devenu veuf, Saint Martin Ménard se remariera en 1845.
Union 2 : MÉDARD Sara "Eugénie" ( 1826 - 1890 )
Mariage : 1845 ( Source1 Source2 )
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Enfant : MÉNARD Paul ( 1846 - 1907 )
MÉNARD Jean "Saint Martin"
MÉNARD Marc-Antoine
VIGNOLE Iglé
propriétaire
Naissance : estimée 1775 ( Source )
Union : VIGNOLE Iglé ( (e) 1775 - ? )
Profession : 1798 ( Source )
La même année 1798 [qu'une autre information concernant elle Henry Médard, comme le reste de cette source], dans une correspondance de l'administration des postes voici :
"La citoyenne MENARD, née Françoise VIGNOLLE, femme libre, dans les biens de son mari le citoyen Jean Marc Antoine MENARD, fait une soumission pour reprendre la poste aux chevaux aux conditions suivantes : - que les chevaux et harnachements lui soient remis à l'estimation des experts - etc...
Le couple MENARD-VIGNOLLE exercera la charge de Maître de Poste pendant tout le consulat et l'Empire jusqu'en 1815 où ils seront brutalement chassés. ... Un …. DURAND occupera la place de maître de poste de 1815 à 1830 etc... (résumé) (Simone Boutet-Lagaillarde)
Enfant : MÉNARD Jean "Saint Martin" ( (c) 1813 - ? )
Naissance : 26 avril 1846 à Lunel 34 ( Source )
Source pour la date et le lieu de naissance : base de données des députés français depuis 1789.Eléments biographiques : 1870 ( Source ) Eléments biographiques : entre 1870 et 1893
Paul Ménard-Dorian est un homme politique français, né le 26 avril 1846 à Lunel et mort le 16 avril 1907 à Paris. Issu d'une riche famille protestante, industriel métallurgiste, il fut notamment conseiller général et député de l'Hérault. Il vécut au domaine du Grand Malherbes, près d'Aimargues. Époux de la fille de l'ancien ministre Frédéric Dorian, Alice Dorian, dont il prit le nom, ils eurent une fille, Pauline.
Détail des mandats et fonctions :
- Chef de cabinet du ministre des Travaux publics, Pierre-Frédéric Dorian (1870-1871)
- Conseiller général du canton de Lunel (1874-1889)
- Député de l'Hérault (1877-1889, 1890-1893)
- Membre de la Société languedocienne de géographie
(Source : Wikipédia)En vie : mars 1900 ( Source ) Décès : 16 avril 1907 à Paris 75
Source pour la date et le lieu du décès : base de données des députés français depuis 1789.
Père : MÉNARD Jean "Saint Martin" ( (c) 1813 - ? )
Mère : MÉDARD Sara "Eugénie" ( 1826 - 1890 )
Union : DORIAN Aline ( 1850 - 1929 )
Invitation à la cérémonie : 19 septembre 1869
De nombreux membres de la famille sont invités à la cérémonie. Célestine Brouzet, une tante de Paul Ménard , écrit à sa belle soeur Coraly Médard pour lui demander conseil :
"Saint Sauveur, 19 septembre 1869
J'ai reçu il y a quelques jours, ma chère Coraly, l'invitation de la famille Dorian, pour le 29 septembre ; j'ai écrit tout de suite à Gracchus, pour lui dire que s'il était d'avis d'y laisser aller Hersilie, nous la confierions à Gustave, s'il y allait lui-même. Mon mari ne m'a pas encore répondu à ce sujet, mais notre retour à Nîmes aura lieu en temps opportun, puisque nous faisons nos arrangements pour y arriver vendredi matin. Maintenant, il y a la question du costume sur laquelle je désirerais quelques détails, que je vous prie de me transmettre vendredi à Nîmes, par un petit billet ; faites-le, je vous prie, à l'adresse de mon mari, pour que le portier ne me l'envoie pas ici, dans le cas où je ne serais à Nîmes que le vendredi soir, malgré tout le désir que j'ai d'y être le vendredi matin. Voici les faits : Hersilie a une robe de foulard complètement neuve qui peut lui servir pour la cérémonie de la bénédiction du mariage : maintenant, je me demande, s'il ne lui en faudrait pas une autre en mousseline ou en tarlatane pour le dîner de la veille. Nous avons écrit d'ici à notre couturière de se tenir prête pour samedi, à venir chez nous, si c'était nécessaire. Valérie va-t-elle assister au mariage ? Dans ce cas, nous nous réglerions un peu sur elle pour cette robe légère, pour savoir si elle ferait le corsage bas ou montant. Voilà une lettre qui traite de sujets bien futiles, mais quand on va dans une société, il faut tâcher de ne se faire remarquer ni en bien, ni en mal.
J'espère que vous allez tous bien ; je sais que vous êtes allés au Grau, et ce qui a fait beaucoup de plaisir à Juliette, ç'a été d'apprendre que vous aviez fait connaissance avec Madame Nègre et Madame Michel, et par conséquent leurs enfants avec les vôtres. La présentation est maintenant toute faite pour l'époque à laquelle vous viendrez vous établir à Nîmes.
Nous avons eu très bon temps pendant notre séjour ici ; à peine a-t-il fait deux ou trois orages ; la pluie est même désirée afin de pouvoir finir les semailles ; cependant je désire pour mon compte qu'elle ne vienne pas encore de toute cette semaine, et ensuite, après mon départ, le déluge.
Adieu, ma chère Coraly, je vous embrasse de cœur, ainsi que tous les vôtres.
Votre dévouée sœur
Célestine Brouzet
P.S. Si Eugénie n'est pas encore partie pour Firminy, vous agiterez avec elle la grave question du costume."
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Mariage : 29 septembre 1869 ( Source1 Source2 )
"Paul épousa Aline Dorian dont le père fut ministre des travaux publics dans le premier ministère de la troisième république. (Il se trouve que les Germain, famille maternelle de ma femme étaient très liés avec les Dorian. C'est sur Henri Germain, le grand'père de ma femme et non sur Paul Ménard qu'Aline Dorian avait d'abord jeté son dévolu. Henri, lui n'a pas répondu à ses avances et a choisi une épouse moins redoutable. Le monde est petit). Les Ménard-Dorian étaient de grands bourgeois aux idées avancées. Nos relations familiales n'étaient pas très étroites, mais je les ai connus et ai été reçu plusieurs fois soit à Fourques soit dans leur somptueux hôtel de la rue de la Faisanderie. J'aurai l'occasion d'évoquer plus loin ces rencontres. La fille de Paul et Aline, Pauline, a épousé Georges Hugo. Au foyer des Ménard-Dorian, vivait une nièce Doria Dorian que ses parents négligeaient et qui était devenue pour sa tante une seconde fille. La mère de Doria était russe. Au bout de quelques années de mariage, Georges, sans doute sensible au charme slave, abandonna Pauline et épousa Doria. Pauline se remariait quelques années plus tard avec le caricaturiste Herman Paul." (Jean Médard - Mémoires)
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Enfant : MÉNARD Pauline ( 1870 - 1941 )
MÉNARD Paul
MÉNARD Jean "Saint Martin"
MÉNARD Marc-Antoine
VIGNOLE Iglé
MÉDARD Sara "Eugénie"
MÉDARD Louis Henry
FRANC Suzanne, Iphigénie, "Anaïs"
Naissance : 1870 Décès : 1941
Pauline MÉNARD est décédée en 1941, à l'âge de 71 ans (source internet).
Père : MÉNARD Paul ( 1846 - 1907 )
Mère : DORIAN Aline ( 1850 - 1929 )
Union : HUGO Georges ( 1868 - 1925 )
Mariage : 1894 ( Source1 Source2 )
Madame Ménard-Dorian "avait marié sa fille unique Pauline à Georges, le petit-fils de Victor Hugo, union qu'elle avait préparé de longue main, séduite qu'elle était par cette manière d'alliance avec le proscrit de Guernesey. Pauline et Georges ne tardèrent pas à se séparer, l'un pour se marier avec Dora, une cousine de Pauline [...] l'autre pour convoler le dessinateur Hermann Paul." (Louise Weiss, citée par Jean Médard dans ses mémoires)
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Enfants : HUGO Jean ( 1893 - 1984 )
HUGO Marguerite ( 1894 - ? )
MÉNARD Pauline
MÉNARD Paul
MÉNARD Jean "Saint Martin"
MÉDARD Sara "Eugénie"
DORIAN Aline
DORIAN Pierre "Frédéric"
HOLTZER Frédérique Caroline
Union : ROGÉ Louis ( ~ 1700 - 1765 )
Mariage : 1 février 1728 ( Source )
"Louis, tonnelier, épouse le 1er février 1728 Marie Menentier, fille d’un confrère."Eléments biographiques : entre 1729 et 1750 à Sète 34 ( Source )
Extraits du livre "Les protestants et l'église réformée de Sète concernant les frères Rogé et leurs familles :
p 21-22 – Dès le début du XVIIIème siècle, on découvre dans les registres notariés des actes concernant les n.c., connus par le « Registre ». [...] Les frères Rogé, Louis et André, ont quitté Bordeaux : Louis, tonnelier, épouse le 1er février 1728 Marie Menentier, fille d’un confrère.
p 26 – Le mariage Flickwier-Rogé
En septembre 1751, le curé et le subdélégué avertissent l’intendant : le 4, Causse signale le mariage à Paris de J. Flickwier et Dlle Rogé. Quelques jours plus tard, Pouget, subdélégué, avertit du retour du Sr Flickwier avec sa femme et le Sr Rogé, père. Quel doit être leur comportement demandent le curé et le subdélégué. Cette union ne respecte pas les règles et ordonnances royales. Ces protestants sétois se marient à Paris pour échapper aux poursuites légales.
Les frères Rogé, parmi les plus anciens n.c. à Sète, viennent de l’Agennais vers 1725, et, tonneliers, se lancent dans le négoce. Vers 1730, Louis, associé à Verborg à Montpellier, fait le commerce des vins et eaux-de-vie à la commission. Son mariage a été béni en 1728 à Saint-Louis, sa femme est catholique, mais dit le curé [texte du 4 septembre 1750], « elle n’est pas maîtresse de ses enfants, ses filles aînées ont fréquenté l’église dans leur bas-âge mais depuis quelques années elles n’y paraissent plus, le garçon a environ 13 ou 14 ans, on ne l’a jamais vu à l’église… (le frère aîné) André est extrêmement zélé pour cette secte ».
Jean Flickwier, originaire d’Hambourg, à Sète depuis 1740 environ, est peut-être passé par Béziers d’abord car il est associé avec Lagarde dans le commerce des boissons alcoolisées.
Le mariage parisien est célébré à la chapelle royale du Danemark. Lors de l’enquête, J. Flickwier fournit un extrait du registre. L’aumônier de l’ambassade danoise certifie avoir marié J. Flickwier, fils légitime et majeur de feu Jean et dame E. Behagen, avec Mlle Suzanne Rogé, fille de Louis Rogé et M. Ménentié, en présence des témoins Louis Rogé, père […]. Pratique assez courante, les n.c. parisiens, les provinciaux qui le peuvent, recourent aux services des puissances protestantes présentes à Paris. Les pasteurs des ambassades d’Angleterre, de Hollande, de Prusse, du Danemark comme celle de Suède, baptisent ou marient leurs ressortissants et, moins ouvertement, les n.c. français.
p 52-53 – Chaque nouvel arrivant apporte un peu de sa patrie d’origine, de ses coutumes et traditions et influence peu ou prou le groupe. Influence numérique, le « clan » cévenol […]. Influence économique et rôle dominant des négociants français et étrangers : les frères Councler, suisses, dont on a vu les alliances ; les Fraissinet, descendus de Saint-Hippolyte, installés d’abord à Montpellier, fixés à Sète jusqu’en 1778 avant d’habiter définitivement Marseille : on connaît leurs alliances avec […] Boichon, monnayeur […]. L’exemple le plus typique est celui des frères Rogé, venus du diocèse d’Agen : les mariages des enfants de Louis, le premier arrivé, nouent des liens avec les Blanc, de Nîmes, Guinard de Pomerols, Médard, de Lunel, eux-mêmes alliés aux Fornier, nîmois installés à Cadix, aux Flickwier, originaires d’Hambourg.
p 59-60 – Les protestants de Sète, Rogé et Balguerie, Burnet et de la Marche, Councler, Fraissinet, Kuhnholtz, Rouch ont des parts plus nombreuses [dans l’armement de navires]. […] Sur cinq cent soixante-trois bâtiments chargés de boissons alcoolisées, quatre cent trente-deux chargeurs sont connus : plus de la moitié est protestante, cinquante-six pour cent. On peut citer parmi les principaux exportateurs […] Fraissinet, Flickwier, […] Rogé […]. Les protestants continuent leur participation jusqu’à la fin du siècle […].
p 65 – Louis et André Rogé, venus de Clérac, diocèse d’Agen, au début du siècle, se lancent dans la tonnellerie et la barricaille D’abord commissionnaires de Verborg, marchand hollandais de Montpellier, ils sont associés en 1740-1750 à Balguerie. Ils s’intéressent aux affaires locales sétoises, affermant la taxe sur la viande, au commerce plus lointain, trafiquant avec les îles françaises d’Amérique. Louis, fils de l’aîné, épouse en 1766, Jeanne-Marie Médard, fille d’un propriétaire négociant en vins de Lunel. Il est associé avec son beau-frère, Jean Flickwier ; en 1770, après sa mort, sa veuve continue la société sous la même raison.
p 127 – Des familles présentes à la fin du XVIIIe, se sont éteintes, comme celle des Rogé. La fille d’André Rogé meurt célibataire en 1784, les trois filles de Louis épousent les négociants Blanc, Flickwier et Guinard ; le fils, porteur du nom [Louis, l'époux de Jeanne Médard] meurt à trente-deux ans sans héritier. Les deux frères, Jean et Clément Flickwier, n’ont qu’une descendance femelle et le nom disparaît à Sète.
Enfants : ROGÉ Suzanne ( ~ 1730 - ? )
ROGÉ Louis ( (c) 1737 - 1770 )
ROGÉ Antoinette ( (e) 1743 - ? )
négociant
Naissance : estimée 1760 ( Source ) Témoin : 11 février 1800 à Sète 34 ( Source )
négociant, maire de Sète
Naissance : estimée 1785 Officier d'état civil : 2 juin 1835 à Sète 34 ( Source )
Naissance : 1893 ( Source ) En vie : 1924 ( Source )
Union : LEENHARDT Georges ( 1893 - ? )
Mariage : 1918 ( Source )
Naissance : estimée 1310 ( Source )
Union : PEYREMALE (de ) Pons ( (e) 1310 - 1363 )
Enfant : PEYREMALE (de ) Bertrand ( (e) 1340 - ? )
propriétaire
Naissance : calculée 1834
Il a 58 ans lors du mariage de Pierre Médard et Mathilde Benoît.Témoin : 9 juin 1892 à Sète 34 ( Source )
Union : MÉDARD Françoise Amélie ( 1832 - 1913 )
Mariage :
Enfant : MÉRIC Maurice ( 1858 - ? )
Naissance : 19 février 1858 ( Source1 Source2 )
Père : MÉRIC Jean-Pierre "Gaston" ( (c) 1834 - ? )
Mère : MÉDARD Françoise Amélie ( 1832 - 1913 )
Union : TROUCHOT Camille ( ~ 1858 - ? )
Mariage : 1884 ( Source )
Enfant : MÉRIC Pierre ( 1896 - ? )
MÉRIC Maurice
MÉRIC Jean-Pierre "Gaston"
MÉDARD Françoise Amélie
MÉDARD Mathieu
GRANIER Suzanne "Clorinde"
Naissance : 22 janvier 1896 ( Source1 Source2 )
Père : MÉRIC Maurice ( 1858 - ? )
Mère : TROUCHOT Camille ( ~ 1858 - ? )
Union : DREYSSIE Marthe ( ~ 1906 - ? )
MÉRIC Pierre
MÉRIC Maurice
MÉRIC Jean-Pierre "Gaston"
MÉDARD Françoise Amélie
TROUCHOT Camille