Fiches individuelles


SCHMUTZ Adèle
Naissance : 18 décembre 1881 ( Source )
Décès : 28 août 1951 ( Source )

Union : WIEGER Emile ( 1872 - 1931 )
Mariage : vers 1900 ( Source )
Enfant : WIEGER Odette ( (e) 1910 - ? )




SCHNEEGANS Jean Pierre
boucher

Naissance : 1 mars 1744 à Strasbourg 67 saint Nicolas ( Source1 Source2 )
Décès : 21 mai 1806 à Strasbourg 67 ( Source )

Union : PFEFFINGER Marguerite Salomé ( 1745 - 1825 )
Mariage : 6 novembre 1765 à Strasbourg 67 saint Nicolas ( Source )
Enfants : SCHNEEGANS Marguerite Salomé ( 1768 - 1841 )
SCHNEEGANS Suzanne "Elisabeth" ( 1773 - 1850 )
SCHNÉEGANS Jean "Daniel" ( 1778 - 1843 )




SCHNEEGANS Marguerite Salomé
Naissance : 3 juillet 1768 à Strasbourg 67 saint Nicolas ( Source1 Source2 )
Domicile : à Strasbourg 67 15 place des Orphelins ( Source )
"Mardi 7 juillet 1840 (p. 7) – Grand-Maman [Salomé Schnéegans, épouse Weiler] a un joli logement bien vaste et bien commode ; la vue sur la place n’est pas mal non plus. Dames parées, professeurs, pasteurs, enfants et artisans, tout y passe et repasse du matin au soir. Saint-Thomas en face, avec ses tourelles élancées, ses galeries gothiques, n’est pas un vis-à-vis désagréable non plus : on peut sans crainte avoir ses rideaux ouverts."
(Journal d'Amélie Weiler)
Eléments biographiques : ( Source )
"A travers Jean-Daniel [Weiler, le père d’Amélie, devenu avocat alors qu’il est issu d’une famille de bouchers du côté paternel et de cafetiers et aubergistes du côté maternel], la famille Weiler accédait à cette fraction de la bourgeoisie où les talents sont le meilleur gage de la position sociale. C’est sa mère, née Marguerite Salomé Schneegans (1768-1841), qui été le véritable artisan de cette promotion : elle s’était en effet introduite, peut-être dans le sillage de son frère Jean-Daniel Schneegans, directeur de l’hospice des orphelins, dans les milieux lettrés protestants où elle rencontra les pasteurs Frantz et Boeckel, le juriste Georges-Daniel Arnold et le poète Ehrendried Stöber ; elle s’y lia d’amitié avec le poète alémanique Johann-Peter Hebel (1760-1826) et lui confia, lorsqu’il prit la direction du lycée de Karlsruhe, l’éducation de son fils : Hebel écrivit alors à sa « très chère amie » des lettres pleines de chaleur et de délicatesse où, tout en donnant des nouvelles de son élève, il évoquait l’actualité politique et littéraire. A son retour à Strasbourg, Jean-Daniel Weiler entreprit des études de théologie, mais préféra finalement se tourner vers le droit."
(Journal d’Amélie Weiler, avant-propos, page 12)
Décès : 8 août 1841 à Strasbourg 67 15 place des Orphelins ( Source1 Source2 )

Père : SCHNEEGANS Jean Pierre ( 1744 - 1806 )
Mère : PFEFFINGER Marguerite Salomé ( 1745 - 1825 )

Union : WEILER Jean Daniel ( ~ 1773 - 1809 )
Enfant : WEILER Jean-Daniel ( 1790 - 1871 )
SCHNEEGANS Marguerite Salomé
SCHNEEGANS Jean Pierre
 
 
PFEFFINGER Marguerite Salomé
 
 




SCHNEEGANS Suzanne "Elisabeth" dite Lisette
Naissance : 10 avril 1773 à Strasbourg 67 saint Nicolas ( Source1 Source2 )
Domicile : entre 10 avril 1773 et 1850 à Strasbourg 67 15 rue des Bouchers ( Source )
Événement : 6 février 1846 à Strasbourg 67 ( Source )
"Jeudi 4 janvier 1849 (p. 253-254) – J’ai eu un après-dîner très gai dans l’année qui vient de commencer. C’était avant-hier, nous avons cherché nos étrennes chez la tante Lisette, passé l’après-dîner chez elle avec l’ouvrage, ainsi qu’Henriette Schneegans, et pris au goûter chacune trois tasses d’excellent chocolat trempé de bretzels, de gâteaux et de cumberlands. Notre conversation était une véritable conversation de vieilles filles ; jeter l’anathème aux hommes, comparer le mariage et le célibat. Chose curieuse, nous n’étions que des filles de vingt-deux à soixante-cinq ans et de nièce en nièce de trois lignées de la famille. Si nous subissons le sort de nos tantes, nous resterons demoiselles et chacune des trois générations aura produit une vieille fille et la dernière, peut-être deux."
(Journal d’Amélie Weiler)
Décès : 23 janvier 1850 à Strasbourg 67 15 rue des Bouchers ( Source )
"Jeudi 10 janvier 1850 (p. 264) – Huit heures du matin. Un message sinistre, un message triste et déjà venu il y a une heure, à sept heures du matin, nous effrayer ma pauvre et bonne tante Lisette est dangereusement malade, elle est dans le délire. Je cours chez elle, le cœur tremblant.

Jeudi 17 janvier 1850 – Je ne sors point et pourtant, l’on peut souvent me voir dans les rues sous mon vieu chapeau noir et mon manteau brun qui a absolument la forme et la couleur d’un froc de capucin. Il est vrai qu’Henriette Schneegans et moi passons alternativement notre journée au chevet de la tante Lisette et de sa servante alitées toutes les deux du même mal , avec la différence que la tante est toujours dans le délire et ne sait ce qu’elle dit, tant que la Lenel a toute sa tête et rumine des méchancetés qu’elle lance sans cesse dune voix glapissante de colère et à laquelle elle tâche de donner un son de voix mourant. […]
Mardi 22 janvier 1850 (p. 264) – On nous a annoncé ce matin une nouvelle qui nous a surprises et effrayées beaucoup : Lenel a succombé hier au soir, dans la chambre même de sa maîtresse malade et en délire qui ne s’est doutée de rien et qui probablement, n’apprendra plus qu’elle a perdu sa servante avec laquelle elle avait passé trente années de sa vie.

Jeudi 24 janvier 1850 (p. 265) – Le jour où se faisait l’enterrement de sa fidèle domestique dont elle n’apprit plus la mort, notre pauvre petite tante Lisette rendit son âme à son Sauveur qu’elle avait tant aimé […].
   Elle ne brillait pas par les lumières de l’esprit, elle était méfiante, originale, peu sincère, mais dans sa jeunesse qu’elle m’a tant de fois contée, elle a constamment vécu dans la solitude, passant les plus belles années de sa vie à soigner deux vieillards exigeants et originaux, un oncle qui la rudoyait et une ère maladive, tyrannique et égoïste, qui pour faire d’elle sa femme de chambre et sa garde-malade refusait, sans lui en souffler mot quelquefois, les prétendants qui se bousculaient en foule, attirés par sa beauté et par son renom de bonne ménagère et peut-être aussi par l’appât de la dot que lui promettait son oncle […].

Samedi 26 janvier 1850 (p. 265-266) – J’ai toujours trouvé Henriette Schneegans philosophe, foulant aux pieds sans s’émouvoir bien des préjugés que respectent d’autres femmes, mais inhumaine, c’est ce que je ne la croyais pas. [Récit de l’ouverture brutale, par Henriette, du coffre où la tante Lisette enfermait bijoux et argenterie.] Et pourtant, Henriette n’est pas froide, n’est pas méchante, n’est pas cupide, elle n’est que philosophe et extraordinaire.

Lundi 28 janvier 1850 (p. 266-267) – [Récit du partage des bijoux et de l’argenterie.]"

(Journal d’Amélie Weiler)

Père : SCHNEEGANS Jean Pierre ( 1744 - 1806 )
Mère : PFEFFINGER Marguerite Salomé ( 1745 - 1825 )

SCHNEEGANS Suzanne "Elisabeth"
SCHNEEGANS Jean Pierre
 
 
PFEFFINGER Marguerite Salomé
 
 




SCHNÉEGANS Caroline "Henriette"
Naissance : 30 janvier 1806 à Strasbourg 67 ( Source1 Source2 )
Événement : 10 mai 1823 à Niederbronn 67 ( Source )
"8 mai 1823 – au 15. Travaux ordinaires dans mon Cabinet & au bureau pour la correspondance avec les marchands, avec Mad. de Dietrich, MM. Seiler Walter & Cie avec les factures des forges, constructions du haut fourneau à Niederbronn, réparation de la digue & construction du Magazin à Rauschendwasser, diverses visites entre autres des demoiselles Stuber Frantz & Schneegans qui arrivent le 10 conférence avec M. Coursin &c &c."
Événement : entre 14 juillet 1823 et 17 juillet 1823 ( Source )
"14 Juillet 1823 – Je pars à 5 ¼ h du matin avec Henriette Schnéegans et notre Henriette. Je fais rafraichir mes chevaux à Benfeld et à Sélestat où nous dînons. Nous poursuivons ensuite notre route jusqu’à Colmar où nous arrivons à cinq heures et demie. Nous descendons au Roi de Pologne. Je conduis ensuite les deux Henriette au Logelbach chez Edouard Boeckel où je passe la soirée et soupe. J’y laisse les deux Henriette et retourne à mon auberge

17 Juillet 1823 – Edouard et Caroline amènent les deux Henriette du Logelbach à mon auberge, d’où nous partons à cinq heures et demie. Nous déjeunons et rafraichissons les chevaux à la maison rouge en dehors de Sélestat. Nous dînons à la Poste à Benfeld. Nous voyons en passant mon oncle Grimmer à sa campagne et entrons en ville à cinq heures et demie. Chez Boeckel où je trouve messieurs Küss, Frantz et Vierling. J’y passe la soirée."
Événement : entre février 1846 et janvier 1850 à Strasbourg 67 ( Source )
"Lundi 6 février 1846 (p. 189) – Henriette Schneegans lui [à Emma, sœur d’Amélie Weiler] a dit qu’on la pressait de toutes parts de commencer une école de petites filles. Comme elle n’ignore pas qu’il y a quelque temps j’aurais trouvé un bonheur extrême à me placer comme gouvernante, elle pense que je pourrais m’associer à elle, passer mon examen et instruire les enfants sous la protection de son âge et de son nom.

Jeudi 4 janvier 1849 (p. 253-254) – J’ai eu un après-dîner très gai dans l’année qui vient de commencer. C’était avant-hier, nous avons cherché nos étrennes chez la tante Lisette, passé l’après-dîner chez elle avec l’ouvrage, ainsi qu’Henriette Schneegans, et pris au goûter chacune trois tasses d’excellent chocolat trempé de bretzels, de gâteaux et de cumberlands. Notre conversation était une véritable conversation de vieilles filles ; jeter l’anathème aux hommes, comparer le mariage et le célibat. Chose curieuse, nous n’étions que des filles de vingt-deux à soixante-cinq ans et de nièce en nièce de trois lignées de la famille. Si nous subissons le sort de nos tantes, nous resterons demoiselles et chacune des trois générations aura produit une vieille fille et la dernière, peut-être deux.

Jeudi 17 janvier 1850 – Je ne sors point et pourtant, l’on peut souvent me voir dans les rues sous mon vieu chapeau noir et mon manteau brun qui a absolument la forme et la couleur d’un froc de capucin. Il est vrai qu’Henriette Schneegans et moi passons alternativement notre journée au chevet de la tante Lisette […]

Samedi 26 janvier 1850 (p. 265-266) – J’ai toujours trouvé Henriette Schneegans philosophe, foulant aux pieds sans s’émouvoir bien des préjugés que respectent d’autres femmes, mais inhumaine, c’est ce que je ne la croyais pas. [Récit de l’ouverture brutale, par Henriette, du coffre où la tante Lisette enfermait bijoux et argenterie.] Et pourtant, Henriette n’est pas froide, n’est pas méchante, n’est pas cupide, elle n’est que philosophe et extraordinaire. "

Lundi 28 janvier 1850 (p. 266-267) – [Récit du partage des bijoux et de l’argenterie.]

Nombreuses autres mentions d’Henriette Schneegans dont  : p. 119 315-318 (et Fanny Schneegans) 370 (mort de sa tante Schneegans) 384 (et M. Preis)

(Journal d’Amélie Weiler)
Décès : 5 octobre 1888 à Strasbourg 67 ( Source )

Père : SCHNÉEGANS Jean "Daniel" ( 1778 - 1843 )
Mère : SCHWARTZ Marie Caroline ( 1779 - 1845 )

SCHNÉEGANS Caroline "Henriette"
SCHNÉEGANS Jean "Daniel"
SCHNEEGANS Jean Pierre
PFEFFINGER Marguerite Salomé
SCHWARTZ Marie Caroline
SCHWARTZ Jean
METZLER Anne Elisabeth




SCHNÉEGANS Charles
Naissance : 8 novembre 1804 à Strasbourg 67 ( Source )

Père : SCHNÉEGANS Jean "Daniel" ( 1778 - 1843 )
Mère : SCHWARTZ Marie Caroline ( 1779 - 1845 )

SCHNÉEGANS Charles
SCHNÉEGANS Jean "Daniel"
SCHNEEGANS Jean Pierre
PFEFFINGER Marguerite Salomé
SCHWARTZ Marie Caroline
SCHWARTZ Jean
METZLER Anne Elisabeth




SCHNÉEGANS Gustave Henri
Naissance : 27 février 1809 à Strasbourg 67 ( Source )

Père : SCHNÉEGANS Jean "Daniel" ( 1778 - 1843 )
Mère : SCHWARTZ Marie Caroline ( 1779 - 1845 )

SCHNÉEGANS Gustave Henri
SCHNÉEGANS Jean "Daniel"
SCHNEEGANS Jean Pierre
PFEFFINGER Marguerite Salomé
SCHWARTZ Marie Caroline
SCHWARTZ Jean
METZLER Anne Elisabeth




SCHNÉEGANS Jean "Daniel"
directeur de l'orphelinat

Naissance : 10 juin 1778 à Strasbourg 67 saint Nicolas ( Source )
Événement : 29 novembre 1804 à Framont 70 ( Source )
"Le 20 7bre 1804 ma chère femme accoucha encore d'une fille à laquelle nous donnâmes le nom d'Henriette. Mr Daniel Schneegans de Strasbourg Élève de mon beau-frère Boeckel & Époux de la Sœur de sa femme devant être son parrain & son Épouse étant elle-même prête d'accoucher [de Charles Schnéegans, qui allait naître le 8 novembre 1804. HF] le Baptême fut remis après son accouchement & n'eut en conséquence lieu que le 28 9bre dans ma maison à Framont, Mlle Élisabeth Fuchs fille de Mr Fuchs Ministre à Wissembourg & Sœur de Mr Fuchs Ministre à Rothau fut Marraine & s'est aussi Mr Fuchs qui lui administra le baptême en présence des Parrains & Marraines & plusieurs amis & parents du nombre desquels étoient mon beau-frère Jonas Boeckel & plusieurs autres je ne me rappelle plus."
Profession : 1812 à Strasbourg 67 ( Source )
"Au commencement de l'année je me rendis à Strasbourg sur l'invitation de Schneegans & Haufé qui avaient fait l'acquisition de la maison cy devant Ginzroth puis du jeu de paume pour y établir leur manufacture de coton & filature."
Relations avec Valentin Haas : entre 1817 et 1823 à Strasbourg 67 ( Source )
16 janvier 1817 – Levé à 4 hs pour mettre en ordre la correspondance & faire la répartition des commandes – à 6 heures & ½ je pars pour me rendre à Strasbourg où j’arrive à 4 heures ½ du soir, je me rendis encore chez Stuber & Piton, puis chez Schneegans & Haufé où j’assistai à une expérience d’éclairage au gaz hydrogène extrait de la houille en présence de Mr Herrenschneider Professeur de Physique.

18 janvier 1817 – Le matin réglé avec Schlagdenhaufen le compte pour le reste de la succession de feu mon père, Lix présent – chez Rausch – chez Mr Renouard & chez quelques Marchands – diné chez Schneegans, puis visite à mon Oncle Grimmer, à Blumer, à Stromeyer, à Granel & enfin chez Piton avec lequel je réglai mon compte.

6 avril 1817 – Chez M. Klauhold – puis chez Mr Renouard qui me promet de parler à M. Marocco pour les Intérêts, dus aux actionnaires, la comptabilité, les bois &c – chez Piton réglé les comptes, chez mon Oncle Grimmer &c – diné chez Schneegans – le soir chez Stuber, Piton &c.

25 aout 1818 – Assisté aux Cérémonies de la fête de St Louïs au Service protestant & catholique – Mad. Schneegans étant arrivée nous fîmes après midi une petite promenade ensemble.

15 sept 1819 – Par Haguenau à la minière de Schwowiler où j'ordonne le nivellement des pièces épuisées et l'achat de nouvelles – de là par Reinarsweiler à Soultz où nous dinons, après-midi visite à Mr. Hertzog & à Musculus puis à la Minière de Lampertsloch & à celle de Naehweiler d'où nous retournons à Niederbronn – Albert arrive avec Aug. Stuber et les dames Schneegans.

23 septembre 1819 – Chez M. de Sahune qui avait reçu diverses pièces concernant l’affaire de Creutzer, qu’il envoie par exprès à Mr de Sézille ; de là je me rends chez M. Renouard avec lequel j’eus une conférence sur les intérêts des forges &c. puis je vais chez Jost avec lequel je dine au Corbeau, après quoi je fais quelques visites et soupe chez Schneegans en grande compagnie.

19 novembre 1819 – Revu le Calcul sur le revenu net, d’après la discussion que j’avais eu hier avec M. Voltz sur cet objet – chez M. Voltz lui remet le résultat de mes Calculs, discussion sur quelques points – chez M. Marocco, lui communique la lettre de Metz, le Marché avec Schaeffer, la situation de Ulrich &c discussion sur Mouterhausen &c – diné chez Schneegans – quelques visites.

21 novembre 1819 – Wittmann vient me voir au sujet du prix des tôles qu’il trouve trop élevé, il me communique ceux d’Audincourt & ceux de Framont. Visité le monument de Koch à St Thomas & celui de Blessig au Temple neuf – diné chez Piton, avec lui dans son jardin, puis chez mon Oncle Grimmer – le soir chez Schneegans où je trouve Ohnmacht, de là chez Haufé où je passe la soirée.

13 janvier 1820 – Je pars pour Strasbourg où je n’arrive que vers le soir je me rends chez Stuber où je trouve mes enfants, Sophie, Albert & Henriette, Caroline & Théodore Boeckel & Auguste Schneegans avec lesquels je passe la soirée.

16 janvier 1820 – Mr Voltz vient chez moi ; conférence sur la concession à demander – diné chez Schneegans – après midi chez M. Marocco, qui est attaqué d’une hydropisie, il me dit qu’il a passé une très mauvaise nuit – le soir chez Piton où je soupe.

23 mars 1820 – Après avoir réglé le nécessaire pour la correspondance & les commandes je pars pour Strasbourg, arrivé à Brumath où je dine, j’y trouve M. Le Bel de Bechelbronn avec lequel je m’entretiens longtemps ; j’arrive à Strasbourg à 4 hs Albert & Henriette viennent de suite me voir, je fais encore quelques visites puis passe la soirée chez Schneegans où Henriette est en pension, & où Albert vient aussi.

25 mars 1820 – Expédié les lettres arrivées pour les forges – chez Mr Renouard, long entretien sur les affaires de la Société, lui communiqué différentes lettres de Marchands – chez Jost – chez M. de Türckheim, conférence sur les forêts de Dürckheim, sur Creutzer, qui était venu lui faire une visite – diné chez Mad. de Dietrich où la conversation roulait sur les mêmes objets & autres – le soir chez Haufé où je trouve Schneegans avec lequel je me rends chez lui y soupe.

24 mai 1820 – Chez M. Renouard, long entretien sur les affaires des forges ; Circulaire aux Marchands du Haut Rhin leur annonçant la diminution des prix de nos fers – Chez M. Voltz conférence sur les Mines de Fleckenstein & de Wingen – chez Jost – diné chez Schneegans, après midi quelques visites – M. Kimmig Inspecteur des Mines de Kaudern.

26 mai 1820 – Ma femme part pour Gottsweiler avec Mad. Schneegans je vais voir encore quelques marchands – chez M. Polidoro Marocco, entretien sur les forges & la Gérance – diné chez M. Voltz, après diner avec lui au Cabinet accompagné de l’Ingénieur du Haut Rhin, promenade au Contades & ma femme revient de Gottsweiler ; après souper nous allons encore voir Boeckel, qui loge provisoirement place des moulins maison Kratz, son logement à St Thomas, où il est nommé Pasteur, n’étant pas encore arrangé.

16 octobre 1820 – Retourné à Strasbourg – chez Jost – chez Piton – diné chez Schneegans – retourné chez Jost, lui parlé pour placer Théodore Brion en apprentissage chez un Serrurier.

17 octobre 1820 – Ehrmann vient me faire un versement pour les forges – Jost envoie aussi un à compte – chez Piton que je trouve un peu mieux – chez Mad. de Franck – diné chez Frantz – après midi chez Schnoeringer – chez M. Polidoro Marocco – chez Haufé trouvé Schneegans avec lequel je vais chez lui – chez Piton réglé mon compte, Stuber y vient aussi – le matin en sortant de chez Mad. de Franck je m’étais rendu chez M. Voltz avec lequel j’eus une conférence sur notre exploitation.

25 novembre 1820 – Chez Stuber – soigné les lettres arrivées pour les forges – chez Coulaux, convenu avec son Neveu que j’irai à Mutzig – chez M. de Sahune, conférence sur les affaires des forges – chez M. Renouard, même sujet de conversation – diné chez Mad. de Dietrich – après midi à l’Enrégistrement pour faire contrôler l’Etat des Apports réciproques de Petri & Sophie – chez M. Champy – chez Schneegans, chez Haufé, chez Piton qui ne va pas mieux chez Boeckel où je soupe.

29 novembre 1820 – Envoyé les lettres arrivées pour les forges – chez Stuber – chez Mad. de Dietrich – chez M. de Sahune – chez M. Renouard – diné au Corbeau – après midi chez Jost avec lequel je règle mon compte – chez M. Voltz – chez Blumer, chez Schneegans – chez Piton qui n’est pas mieux – chez Boeckel où je soupe.
20 mars 1821 – Le matin chez Stuber – chez M. de Türckheim, long entretien sur les affaires de ses forêts – diné chez Schneegans – après midi retourné chez M. de Türckheim – chez Schnoeringer – chez Wittmann – chez Madame Piton – chez moi.

23 mars 1821 – Albert vient encore me voir – Lix vient payer son loyer – Kessel Serrurier m’apporte son mémoire que je lui paye – chez Wittmann – chez le Colonel Berthier – chez Schnoeringer – diné chez M. Polidoro, où M Munschina père vient – chez Haufé, avec Schneegans au Casino – rentré chez moi où je trouve des lettres de Niederbronn & une invitation de Mad. de Franck.

22 septembre 1821 – Expédié les lettres pour les forges – chez Stuber – Visite de Mad. Brion – Küss marchand – chez M. Renouard, longue conférence sur les intérêts des forges – chez Jost, diné avec lui au Corbeau – après midi à l’Arsenal – de là chez Schneegans ensuite à la fabrique, puis rentré chez moi.

26 septembre 1821 – Expédié les lettres pour l’Administration des forges – chez Stuber – chez Quinteuz – chez Jost – au Corbeau – chez Diebolt – à la haute montée arrêté des places dans la Diligence pour Colmar – chez Wittmann – à l’Arsenal – diné chez Schneegans où Haufé vient aussi, conversation sur les Martinets – chez Küss, entretien sur le projet de Chn Brion – chez Winckler – chez Piton – chez Boeckel

27 septembre 1821 – Parti pour Colmar avec Charles Schneegans & Albert, arrivés à Colmar à 2 heures – après diner au Logelbach dans le logement de Édouard Boeckel Caroline le fait chercher ; il nous conduit à la fabrique de MM. Haussmann où il nous fait voir les Ateliers d’impression, les Cylindres &c – nous montons sur la Sècherie où il y a une très belle vuë – retourné chez Édouard où nous passons la soirée & rentrons ensuite à Colmar.
2 octobre 1821 - Retourné à Colmar par une Diligence – chez Cuny Md de fer, avec lequel j’eus une longue conférence sur le commerce du fer & qui m’engage à diner – je vais encore trouver M. Hauhard, puis retourne chez Cuny diner – après midi au Logelbach chez Édouard où nous trouvons Auguste Schneegans nous y passons la soirée & rentrons ensuite à Colmar.
25 novembre 1821 – Chez Haan – au Service divin à St Thomas – chez Mad. de Dietrich avec laquelle j’eus une longue conférence sur les intérêts des forges & sur ses affaires particulières – diné chez Boeckel puis chez moi où je travaille jusqu’à quatre heures, alors retourné chez Boeckel, avec lui chez Schneegans ù nous passons la soirée, soupé chez Boeckel.

17 janvier 1822 – Après avoir mis en ordre la correspondance & fait la répartition des commandes, je pars pour Strasbourg avec Henriette qui va loger chez Schneegans – je me rends encore chez Mad. Piton puis chez Boeckel où je passe la soirée & soupe.
18 janvier 1822 - Je travaille chez moi jusqu’à 10 heures puis me rends chez Boeckel & chez Treuttel & Würtz pour régler mes comptes & payer – de là chez Mad. de Dietrich, longue conversation sur les forges – chez M. Pol. Marocco où je dine – avant & après diner, discussion sur les intérêts des forges, son plan serait de transférer à Strasbourg le Bureau central, ce que je n’approuve pas – le soir chez Schneegans, puis chez Stuber & enfin chez Boeckel où je passe le reste de la soirée.

25 janvier 1822 – Rentré à Strasbourg où je trouve une lettre & des nottes de Salathé rélatives à son différent avec M. Wencelius – chez Boeckel, avec lui chez Gams que nous trouvons très malade – chez Schneegans où nous dinons – après diner chez moi, puis avec Boeckel chez Frantz où nous passons la soirée.

30 janvier 1822 – Chez Quinteuz, chez Mad. de Dietrich, qui est partie pour Geudertheim, long entretien avec M. Albert – chez Kammerer, discussion sur les affaires de Drion – chez Mad. Stromeyer – chez Boeckel, avec lui chez Küss où nous dinons – chez Voltz qui est absent – chez Lix, qui n’y est pas non plus – chez M. Pol. Marocco, longue conversation sur les forges – chez Schneegans à la fabrique – chez Boeckel, où je soupe.

26 janvier 1822 – Chez Stuber, discussion sur le différent de Salathé avec Wencelius – analyse & envoi des lettres arrivées pour l’Administration – chez M. Ulrich, que je ne trouve pas chez lui – diné chez Boeckel, avec lui au Casino – chez Küss – rencontre le père Nicolas – chez moi – chez Haufé, passé la soirée avec lui & Schneegans.

23 avril 1822 – Chez Boeckel, chez Mad. Piton – ma femme fait ses commissions – je me rends chez P. J. Franck – chez Jost – chez M. Pol. Marocco qui est au Jardin d’Angleterre, mais je trouve M. Funck avec lequel j’eus un long entretien. Diné chez Stuber, décompté avec lui, – chez Boeckel – chez Schneegans à la fabrique – le soir nous trouvons Petri chez Stuber.

24 avril 1822 – Expédié les lettres arrivées pour l’Administration – Visite de M. Engelhard qui se présente pour la place de facteur à Zinsweiler – chez P. J. Franck – chez Jost – chez M. Pol. Marocco avec lequel j’eus une longue conférence sur le remplacement de Herbster – il n’est pas porté pour Engelhard, ayant un autre sujet en vuë ! – sur les affaires des forges &c. Diné chez lui – chez Schneegans, avec ma femme chez Lix – le soir chez Mad. Piton où nous soupons en grande compagnie.

26 avril 1822 – Chez Stuber où nous déjeunons – Visite de Ehrmann, de Schleiffer, de M. de Brauer père avec lequel j’eus quelques explications sur les emplois vacants à la forge de Zinsweiler – Petri vient chez nous – chez Blumer pour renouveller mes billets – chez M. Pol. Marocco où je trouve M. de Brauer – diné chez Schneegans – après diner retourné chez M. Pol. Marocco, discussion sur les remplacements à faire à Zinsweiler – promenade – rentré chez moi, arrangé mon compte avec Haan – M. Engelhard vient encore me trouver – chez Boeckel où nous soupons.

15 octobre 1822 – Réglé les comptes avec diverses personnes, écrit aux facteurs des forges & à Heim &c entrevuë avec Dauer au sujet des 274 ¼ Cordes de bois que Drion nous redoit – le soir Albert arrive avec Auguste Stuber, Auguste Brion, Auguste & Charles Schneegans.

22 novembre 1822 – Travaillé chez moi jusques vers midi, alors chez P. J. Franck, Jost, Blumer, Marocco, Schneegans & Haufé – diné chez Frantz, après diner petite promenade, puis chez M. Polid. Marocco, avec lequel j’eus une assez longue conférence – de là chez Mad. Piton, où je passe la soirée, puis chez Boeckel où je soupe.

23 novembre 1822 – Travaillé chez moi jusqu’à midi passé, puis chez Schneegans où je dine – après midi chez Blumer, petite promenade, puis chez M. Pol. Marocco, où nous discutons les pièces à produire dans l’assemblée des actionnaires, jusqu’à cinq heures & ½ de là chez Boeckel passé le reste de la soirée & soupé.

3 décembre 1822 – Avec Boeckel deux fois chez M. Müller sans le trouver, fais quelques emplettes, chez M. Renouard, chez Mad. de Dietrich, chez Mad. Stromeyer – à la Préfecture, comité d’évaluation – diné au Corbeau avec Jost & Bley – Daniel Boeckel y vient, il me remet son Compte de l’Année écoulée – après diner encore chez Boeckel avec lui chez M. Müller convenu que Auguste entrera en apprentissage chez lui d’aujourd’hui en huit, 9 court pour quatre années – chez Klein à l’entrepôt des fortifications – chez Haufé – chez Ott où je trouve M. Lauer qui m’entretient des ferrements pour les écluses du Canal – chez Schneegans – chez Boeckel.

15 mars 1823 – Le matin chez Wittmann qui me fait part des difficultés qu’il a avec M. Haller auquel il a fourni différentes pièces de fonte exécutée à Zinsweiler & que le dernier prétend n’être pas conforme à sa demande – chez Lauer avec lequel je fais une convention pour la confection des ferrements pour les Ecluses du Canal – chez M. Polidoro Marocco, discussion sur l’affaire des forges avec l’Administration des Mines à Bouxwiler – diné avec ma femme chez Schneegans – après diner retourné chez Mr Polid. Marocco, où Wittmann vient aussi ; examiné les prétentions de Mr Haller, décidé que Wittmann l’actionnera – rentré chez moi où je m’occupe des affaires des forges, principalement de l’Apperçu des Dépenses pour la prochaine campagne à soumettre à la Gérance.

19 mars 1823 – Pris connaissance des lettres arrivées par la poste, que j’envoie à Niederbronn par le Messager – chez P. J. Frank – chez M. Voltz, discussion sur la concession des Mines de Fleckenstein & Roehrenthal &c – chez Jost – chez M. Polidoro Marocco, discussion sur les usines, dispositions pour le prochain Inventaire – diné chez Haufé, après diner chez Schneegans – diné chez M. Rollé, commandé une bascule – chez moi – le Maire de Zinsweiler vient avec Baltazar Brauer pour affaires, je lui donne un billet pour M. Ehrmann – chez Mad. de Türckheim – chez Mad. Piton – chez Boeckel où nous passons la soirée & soupons.

8 mai 1823 – au 15. Travaux ordinaires dans mon Cabinet & au bureau pour la correspondance avec les marchands, avec Mad. de Dietrich, MM. Seiler Walter & Cie avec les factures des forges, constructions du haut fourneau à Niederbronn, réparation de la digue & construction du Magazin à Rauschendwasser, diverses visites entre autres des demoiselles Stuber Frantz & Schneegans qui arrivent le 10 conférence avec M. Coursin &c &c.
12 juillet 1823 – le matin Auguste vient me voir – j’expédie à Niederbronn les lettres arrivées pour l’Administration accompagnées de Nottes pour les réponses & pour l’exécution des commandes – ensuite je me rends chez M. Renouard de Bussierre avec lequel j’ai un long entretien sur les usines – chez Jost – chez M. Polidoro Marocco avec lequel j’ai un entretien sur les forges, sur le Procès Drion – diné chez Schneegans, où Henriette loge, après diner chez Haufé – chez Stuber – le soir chez Mad. de Dietrich avec laquelle j’ai une longue conversation sur ses affaires, sur les forges & jusqu’à 9 heures & ½.

19 juillet 1823 – Je reçois une lettre de Albert date de Munic 12 Ct à laquelle je réponds – j’expédie les lettres arrivées pour l’Administration – chez M. Berthier Colonel d’Artie – chez M. Sultzer Serrurier, ne trouvant ni l’un ni l’autre chez lui je me rends à l’Arsenal de construction pour demander des nouvelles sur l’établissement du Mouton & de l’escarpolette pour l’essai des essieux – M. Sultzer vient me joindre, j’ai avec lui des explications sur les fourneaux pour la Salle de spectacle à couler & sur les pièces à forger pour le Pont-levis de la porte dauphine, je vais avec lui à la dite porte où il m’explique l’emploi des pieux commandés – diné chez Boeckel, avec lui au Casino – à l’Arsenal, chez M. Polidoro Marocco – chez Mr Rollé – chez Schneegans – chez Blumer où je passe la soirée."
Eléments biographiques : après 1840 à Strasbourg 67 ( Source )
" [Pour Amélie Weiler] Jean-Daniel, est l’oncle Schneegans, contrôleur des hospices civils et ancien directeur de l’hospice des orphelins. Il mourut à 64 ans d’une pneumonie le 18 janvier 1843. De son mariage avec Caroline Schwartz (madame Schneegans), il eut une fille, Henriette (1806-1888), cousine germaine du père d’Amélie, qui resta célibataire. Ils habitaient 8 place Saint-Thomas."
(Journal d’Amélie Weiler - Répertoire des familiers d’Amélie Weiler, p. 476) 
Décès : 18 janvier 1843 à Strasbourg 67 ( Source1 Source2 )
"Jeudi 19 janvier 1843 (p. 105) – L’oncle Schneegans est mort hier au soir à 9 heures. C’est un triste événement auquel on s’attendait depuis plusieurs mois."
(Journal d'Amélie Weiler)

Père : SCHNEEGANS Jean Pierre ( 1744 - 1806 )
Mère : PFEFFINGER Marguerite Salomé ( 1745 - 1825 )

Union : SCHWARTZ Marie Caroline ( 1779 - 1845 )
Mariage : 19 mai 1802 à Strasbourg 67 ( Source1 Source2 )
Enfants : SCHNÉEGANS Charles ( 1804 - ? )
SCHNÉEGANS Caroline "Henriette" ( 1806 - 1888 )
SCHNÉEGANS Gustave Henri ( 1809 - ? )
SCHNÉEGANS Jean "Daniel"
SCHNEEGANS Jean Pierre
 
 
PFEFFINGER Marguerite Salomé
 
 




SCHNÉEGANS Jean Pierre
brasseur

Naissance : 15 janvier 1741 à Strasbourg 67 saint Nicolas ( Source )
Je note le père de Barbe Schnéegans pour voir s'il est apparenté au Schnéegans fréquentés par les Haas et très souvent mentionnés dans l'agenda de 1832 et dans les textes antérieurs. L'agenda mentionne un Auguste et une Henriette. Un Daniel Schnéégans était le parrain de Henriette Haas. Dans son récit du baptême de sa fille, Valentin Haas dit que Daniel Schnéegans est un "élève" de Jonas Boeckel.
Or, il y a, dans la très nombreuse parentèle Schnéegans détaillée dans le site finlandais de Gérard Baer un Jean Daniel Schnéegans (1778-183), directeur de l'orphelinat. Ce Jean Daniel est l'époux d'une Marie-Caroline Schwarz, qui est la soeur de Marguerite Elisabeth Schwartz, la 2ème femme de Jonas Boeckel. (Tant de coïncidences ! Du coup, je vais eux aussi les rajouter dans ma base de données ! D'autant plus que la femme d'Albert Haas est aussi une Schwartz.) Ce couple a eu trois enfants : Henriette Schnéegans, née en 1806, Gustave né en 1809 et d'un Charles de 1804. (Curieusement aussi, il y a aussi de nombreux Jean Valentin et Valentin Schnéegans, au moins sept). Est-ce la branche que fréquente Valentin Haas, c'est difficile de l'affirmer. Ce Jean-Daniel a un arrière grand-père en commun avec le Jean-Pierre de la fiche en cours.
(HF - 14 août 2012)
Décès : 18 avril 1805 à Strasbourg 67 ( Source )

Union : JUNDT Marie Suzanne ( 1743 - 1813 )
Mariage : 17 novembre 1765 à Strasbourg 67 saint Pierre le Vieux ( Source )
Enfant : SCHNÉEGANS Marguerite Barbe ( 1772 - ? )




SCHNÉEGANS Marguerite Barbe
Naissance : 29 novembre 1772 à Strasbourg 67 saint Nicolas ( Source )

Père : SCHNÉEGANS Jean Pierre ( 1741 - 1805 )
Mère : JUNDT Marie Suzanne ( 1743 - 1813 )

Union : KAMMERER Jean Daniel ( 1766 - ? )
Mariage : 9 octobre 1792 à Strasbourg 67 saint Nicolas ( Source )
Adoption : vers 1812 ( Source )
Ils adoptent leur nièce orpheline, Emilie Kammerer, qui épousera en 1833 Charles Boeckel.
SCHNÉEGANS Marguerite Barbe
SCHNÉEGANS Jean Pierre
 
 
JUNDT Marie Suzanne
 
 




SCHOEFFER Mina
Naissance : vers 1830 ( Source )
Événement : 5 décembre 1870 à Paris 75 ( Source )
Maman, Henriette et tante vont bien, le père Durand aussi et est venu diner hier avec nous, c’était dimanche et nous avions aussi ma cousine Mina. Nous avons fait un excellent diner et on ne croirait guère que l’on est assiégé depuis deux mois ½.





SCHOELL Madeleine Salomé
Naissance : 12 mars 1724 à Strasbourg 67 ( Source )
Décès : 3 avril 1786 à Sessenheim 67 ( Source )

Union : BRION Jean Jacques ( 1717 - 1787 )
Mariage : 29 mai 1743 à Strasbourg 67 ( Source )
Enfants : BRION Frédérique ( 1752 - 1813 )
BRION Sophie ( (c) 1759 - 1838 )
BRION Chrétien ( 1763 - 1817 )




SCHOENWETTER Henriette
Naissance : après 1779 ( Source )
Profession : vers 1800
Sa mère, "veuve de bonne heure, revint à Hanau, où, aidée de ses deux filles, Amélie et Henriette, puis de ses deux soeurs, elle reçut quelques pensionnaires. Cette fille Amélie, fit, avec sa tante Catherine, un séjour à Montpellier, à la suite duquel, semble-t-il, elles attirèrent chez elles, ou dans des pensions voisines, plusieurs Montpellierains : Scipion Bazille, Junius et Emile Castelnau, entre autres, entre 1809 et 1811. Eugène Leenhardt, second fils d'André Chrétien, "qui ne s'appliquait" guère à ses études", fut deux ans en pension sous leur surveillance, après sa sortie de la pension Lemoine à Paris. "
(Jean Gartner - Ceux par qui nous sommes Leenhardt)

Père : SCHOENWETTER Jean-Henri ( ~ 1750 - ? )
Mère : LEENHARDT Marie Amélie ( ~ 1750 - ? )

SCHOENWETTER Henriette
SCHOENWETTER Jean-Henri
 
 
LEENHARDT Marie Amélie
LEENHARDT Georges Guillaume
GROSS Marie Amalia




SCHOENWETTER Jean-Henri
Directeur de la fabrique de Wesserling, chimiste et coloriste

Naissance : vers 1750 ( Source )

Union : LEENHARDT Marie Amélie ( ~ 1750 - ? )
Mariage : avant 1778 ( Source1 Source2 )
Ils se sont vraisemblablement mariés avant 1778, leur fille aînée Marie Amélie étant née le 10 octobre 1778.
Enfants : SCHOENWETTER Marie Amélie ( 1778 - ? )
SCHOENWETTER Henriette ( > 1779 - ? )




SCHOENWETTER Marie Amélie
Naissance : 10 octobre 1778 à Wesserling 68 ( Source )
Profession : vers 1800 ( Source )
Sa mère "veuve de bonne heure, revint à Hanau, où, aidée de ses deux filles, Amélie et Henriette, puis de ses deux soeurs, elle reçut quelques pensionnaires. Cette fille Amélie, fit, avec sa tante Catherine, un séjour à Montpellier, à la suite duquel, semble-t-il, elles attirèrent chez elles, ou dans des pensions voisines, plusieurs Montpellierains : Scipion Bazille, Junius et Emile Castelnau, entre autres, entre 1809 et 1811. Eugène Leenhardt, second fils d'André Chrétien, "qui ne s'appliquait" guère à ses études", fut deux ans en pension sous leur surveillance, après sa sortie de la pension Lemoine à Paris. "
(Jean Gartner - Ceux par qui nous sommes Leenhardt)

Père : SCHOENWETTER Jean-Henri ( ~ 1750 - ? )
Mère : LEENHARDT Marie Amélie ( ~ 1750 - ? )

SCHOENWETTER Marie Amélie
SCHOENWETTER Jean-Henri
 
 
LEENHARDT Marie Amélie
LEENHARDT Georges Guillaume
GROSS Marie Amalia




SCHORN Agnes - 7 417
Naissance : avant 1571 ( Source )

Père : SCHORN Ludwig ( 1535 - < 1572 )
Mère : GROSS Agnes ( 1548 - 1626 )

Union : WIDMANN Mathieu ( 1570 - 1629 )
Mariage : 27 août 1593 à Mittelbergheim 67 ( Source )
Enfant : WIDMANN Peter ( 1603 - 1665 )
SCHORN Agnes
SCHORN Ludwig
SCHORN Johann
 
GROSS Agnes
GROSS Johannes
ÉPOUSE de JOHANNES GROSS Magdalena




SCHORN Johann - 29 668
Naissance : estimée 1505 à Andermach ( Source )

Autre enfant : SCHORN Ludwig ( 1535 - < 1572 )




SCHORN Ludwig - 14 834
boucher

Naissance : 1535 à Andermach ( Source )
Décès : avant 1572 ( Source )

Père : SCHORN Johann ( (e) 1505 - ? )

Union : GROSS Agnes ( 1548 - 1626 )
Mariage : 1568 ( Source )
Enfant : SCHORN Agnes ( < 1571 - ? )
SCHORN Ludwig
SCHORN Johann
 
 
 
 
 




SCHOTT Martin
cordonnier

Naissance : 1800
AD du Bas-Rhin, 2ème registre des mariages de 1832 de Strasbourg, page 37/43.

Union : KAYSER Anne Frédérique ( 1801 - ? )
Mariage : 26 avril 1832 à Strasbourg 67
AD du Bas-Rhin, 2ème registre des mariages de 1832 de Strasbourg, page 37/43.




SCHREIBER Johann Georg
Naissance : 17 janvier 1669 à Mittelbergheim 67 ( Source )
Décès : 8 août 1747 à Mittelbergheim 67 ( Source )

Union : DANTZER Maria ( 1673 - 1745 )
Mariage : 31 janvier 1696 à Mittelbergheim 67 ( Source )
Enfant : SCHREIBER Maria ( 1708 - ? )


                     


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