Fiches individuelles


PHAN VAN TAO Tao
mandarin militaire de 3ème rang

Naissance : vers 1887 ( Source )
PHAN VAN TAO voit le jour vers 1887, un peu après mon grand-père Phan Van Tieu qui est né en 1884.
Tradition familiale : ( Source )
"Chiem était revenu à Mau-Tai pour y reprendre lui aussi la tradition familiale d'arts martiaux et rouvrir l'école dont sa grand-mère An avait été la championne. Chiem et sa femme Dieu eurent quatre enfants, les quatre frères et sœurs qui nous réunissent tous en ce jour de mai 1973.
Mon grand-père Tieu, son frère et ses deux sœurs perdirent leur père très jeunes et furent élevés par leur mère et par leur tante Hué. Devenus adultes, les deux garçons, grâce à leur science des armes, passèrent avec succès le concours triennal de mandarin militaire, qui leur permettait de devenir officiers.
Mais c'était une époque troublée que la leur : l'empire du Viêt-Nam s'était effondré : le sud, devenu Cochinchine, était une colonie où les Français construisaient Saïgon ; le Tonkin, au nord, était un protectorat et les Français tenaient à Hanoï les rênes de l'administration ; au centre, l'Annam était également un protectorat français, mais l'empereur conservait cependant à Hué, la ville impériale, les symboles du pouvoir. L'armée impériale existait encore, mais n'était qu'une armée de parade. Aussi les deux frères ne purent-ils faire carrière que dans la garde impériale, ultime rempart de la tradition contre les bouleversements de l'époque. Mon grand-oncle, devenu mandarin de deuxième rang, fut commandant de la garnison de la ville de Hué. Son frère aîné, mon grand-père Tieu, mandarin de troisième rang, fut commandant de la garde impériale. Tous deux prirent leur retraite en 1945, au moment de l'abdication de Bao-Dai et de la fin de l'empire." (PVS)
Décès : vers 1978 ( Source )

Père : PHAN VAN CHIEM Van Chiem ( (e) 1855 - ? )
Mère : TRAN THI DIEU ? ( (e) 1855 - ? )

Autres enfants : PHAN VAN VY Vy ( ~ 1912 - ~ 2002 )
PHAN VAN THAO Thao ( ~ 1915 - > 1983 )
PHAN VAN TAO Tao
PHAN VAN CHIEM Van Chiem
PHAN VAN HOA Van Hoa
TRAN THI DUNG ?
TRAN THI DIEU ?
 
 




PHAN VAN THAO Thao
Naissance : vers 1915 ( Source )
Famille : après 1983 ( Source )
Toute sa famille vit maintenant aux Etats-Unis, à Santa-Anna, en Californie. Il a au moins huit enfants dont de nombreuses filles.
Décès : après 1983 ( Source )
PHAN VAN THAO est décédé au VIetnam, après 1983, à l'âge d'environ 68 ans, peu de temps après Phan Van Suong.

Père : PHAN VAN TAO Tao ( ~ 1887 - ~ 1978 )

PHAN VAN THAO Thao
PHAN VAN TAO Tao
PHAN VAN CHIEM Van Chiem
TRAN THI DIEU ?
 
 
 




PHAN VAN THAY Van Thay
Naissance : estimée 1745 ( Source )
PHAN VAN THAY voit le jour à une date inconnue.

Père : PHAN VAN UYEN Van Uyen ( (e) 1720 - ? )
Mère : HUYNH THI DIEM ? ( (e) 1720 - ? )

PHAN VAN THAY Van Thay
PHAN VAN UYEN Van Uyen
PHAN VAN LUU Van Luu
TRAN THE NGHIEN ?
HUYNH THI DIEM ?
 
 




PHAN VAN TIEN Van Tien
Naissance : estimée 1720 ( Source )

Père : PHAN VAN LUU Van Luu ( (e) 1695 - ? )
Mère : TRAN THE NGHIEN ? ( (e) 1695 - ? )

PHAN VAN TIEN Van Tien
PHAN VAN LUU Van Luu
PHAN VAN HIEN Van Hien
LE THI NAP ?
TRAN THE NGHIEN ?
 
 




PHAN VAN TIEU Tieu
Naissance : 10 juin 1884 à Hué ( Source )
PHAN VAN TIEU voit le jour le mardi 10 juin 1884, 30ème jour du 4ème mois de l'année At Dau (année du Coq), à Hué.
Tradition familiale : 1900 ( Source )
"Chiem était revenu à Mau-Tai pour y reprendre lui aussi la tradition familiale d'arts martiaux et rouvrir l'école dont sa grand-mère An avait été la championne. Chiem et sa femme Dieu eurent quatre enfants, les quatre frères et sœurs qui nous réunissent tous en ce jour de mai 1973.
Mon grand-père Tieu, son frère et ses deux sœurs perdirent leur père très jeunes et furent élevés par leur mère et par leur tante Hué. Devenus adultes, les deux garçons, grâce à leur science des armes, passèrent avec succès le concours triennal de mandarin militaire, qui leur permettait de devenir officiers.
Mais c'était une époque troublée que la leur : l'empire du Viêt-Nam s'était effondré : le sud, devenu Cochinchine, était une colonie où les Français construisaient Saïgon ; le Tonkin, au nord, était un protectorat et les Français tenaient à Hanoï les rênes de l'administration ; au centre, l'Annam était également un protectorat français, mais l'empereur conservait cependant à Hué, la ville impériale, les symboles du pouvoir. L'armée impériale existait encore, mais n'était qu'une armée de parade. Aussi les deux frères ne purent-ils faire carrière que dans la garde impériale, ultime rempart de la tradition contre les bouleversements de l'époque. Mon grand-oncle, devenu mandarin de deuxième rang, fut commandant de la garnison de la ville de Hué. Son frère aîné, mon grand-père Tieu, mandarin de troisième rang, fut commandant de la garde impériale. Tous deux prirent leur retraite en 1945, au moment de l'abdication de Bao-Dai et de la fin de l'empire." (PVS)
Voyage : septembre 1907 ( Source )
En 1907, au moment où l'empereur Thanh-Thai a été déposé et exilé par les Français à l'île de la Réunion, c'est mon grand-père Tieu était son chauffeur (il avait un des tous premiers permis de conduire vietnamien, le n° 1 ou le n° 2) pour l'accompagner jusqu'au Cap Saint-Jacques où il a pris le bateau.

(HF - 24 octobre 2004, d'après le récit de Phan Van Song)
Tante aveugle : 1965
"La tante aveugle


Après la mort de ses parents, la tante Thi Hué, devenue aveugle après avoir contracté la variole, est restée dans la famille de son frère Phan Van Chiem, mon arrière-grand-père. Elle gardait les clés de la maison et veillait à l'éducation des enfants.
Van Chiem mourut jeune laissant quatre orphelins, mon grand-père Tieu, son frère Tao et leurs deux sœurs. Ils ont été élevés et formés aux arts martiaux par leur mère Tran Thi Ðieu et éduqués par la tante aveugle.
Une soixantaine d'années plus tard, mon grand-père Tieu était un jour en train de déjeuner seul dans un restaurant de Saïgon, quand il a été abordé par un géomancien chinois. Celui-ci lui dit avoir détecté sur son visage une malédiction frappant ses descendants car le tombeau d'une personne très puissante de la famille avait subi des dégâts. D'abord sceptique, pensant avoir affaire à un charlatan cherchant à lui soutirer de l'argent, mon grand-père a été impressionné quand le géomancien a précisé que cette malédiction frappait les yeux de ses descendants. Or mon père, son fils, était devenu aveugle une dizaine d'années auparavant, en 1955, et j'avais moi-même perdu un œil accidentellement en 1952. Mon grand-père a alors accepté la proposition du géomancien d'aller visiter les tombeaux de la famille pour trouver celui qui avait subi des dégâts.
Grand-père est revenu à la maison et a raconté cette histoire à ses fils de Saigon, mon père Suong et son frère Hao ainsi qu'à son fils Hiep qui venait par hasard d'arriver de Da Nang. Hiep étant le plus riche des trois, et étant aussi le plus impressionné par cette histoire, a accepté de financer les recherches. Voilà donc mon grand-père et le géomancien partis pour Hué où se trouvent les tombeaux de la famille. Ils visitent les tombeaux sur les collines de Ngu Binh, puis ceux des ancêtres de Mau Tai. Aucun signe de dégâts. Ils poussent plus loin et vont visiter les ancêtres des autres générations de l'autre côté du village de Mau Tai. Rien non plus. Mon grand-père se souvient alors de la tante aveugle, ils vont voir son tombeau qui est légèrement effondré, ils dégagent la terre et ils voient qu'une racine attaque le cercueil. Ils l'ouvrent : la racine traversait les deux yeux en entrant par l'orbite droite et ressortant par la gauche. Ils calculent que cette racine a dû atteindre l'orbite droite vers 1952 quand j'ai perdu mon oeil droit. Et la racine continuant son avance a atteint le deuxième œil en 55 quand le fils aîné Suong, mon père, a perdu ses deux yeux.
Après cette découverte, mon grand-père a fait installer un autel pour la tante aveugle, bien que normalement les filles n'aient pas de tablette sur l'autel des ancêtres. Etant donné les circonstances, la tante aveugle en a maintenant une, mais à l'extérieur de la maison des cultes : on doit passer devant son autel et la saluer avant d'aller brûler l'encens devant les tablettes familiales.
A notre visite en 1973, Cyril a fait l'imbécile devant l'autel, on lui a dit « Attention ! La tante a l'habitude de jeter les enfants turbulents dans la rigole qui circule le long du jardin de la maison des ancêtres ! ». Et effectivement, une heure après, Cyril s'est retrouvé dans la rigole complètement mouillé.
Le géomancien a aussi fait les prédictions suivantes : « Dans votre descendance, vous n'aurez plus de branche aînée. » Et effectivement, mon fils aîné, Gilbert est mort à l'âge de quatre semaines. Mon frère Dieu a perdu son fils alors qu'il était bébé et n'a jamais eu d'autre enfant. Mon fils Cyril n'a pas gardé son premier enfant.
En ce qui concerne la malédiction portant sur la vue : mon père était aveugle, j'ai moi-même perdu un œil quand j'avais dix ans et ma nièce Anh Thu, la fille de mon frère Toan, a elle aussi perdu un œil accidentellement dans les années 90.
Enfin, le géomancien a aussi prédit que dans la descendance de mon grand-père, la tradition militaire et celle des arts martiaux ne perdureraient pas, et mon père effectivement était le dernier officier de la famille et les connaissances ancestrales de Tinh et de An se sont perdues."

Phan Van Song, 24 octobre 2004
Décès : 16 septembre 1976 ( Source )
PHAN VAN TIEU est décédé le jeudi 16 septembre 1976, le 20ème jour du 8ème mois de l'année Binh Thin (année du Dragon) à Saïgon.

Culte les 19ème et 20ème jours du 8ème mois
Tombeau à Godua, Cimetière de l'Amicale des gens du Centre, Thu Duc, Saïgon

Père : PHAN VAN CHIEM Van Chiem ( (e) 1855 - ? )
Mère : TRAN THI DIEU ? ( (e) 1855 - ? )

Union : NGUYEN THI RAY ? ( 1889 - 1954 )
Enfant : PHAN VAN SUONG Suong Pierre ( 1917 - 1983 )
PHAN VAN TIEU Tieu
PHAN VAN CHIEM Van Chiem
PHAN VAN HOA Van Hoa
TRAN THI DUNG ?
TRAN THI DIEU ?
 
 




PHAN VAN TINH Van Tinh
Naissance : estimée 1800 ( Source )
PHAN VAN TINH voit le jour vraisemblablement après 1782, puisqu'il participe à la construction de la citadelle de Hué.
Tradition familiale : après 1802 ( Source )
"Au début du 19ème siècle, un jeune homme arrivait à Hué.

Depuis 1802, l'empereur Gia-Long, fondateur de la dynastie des Nguyen, avait réunifié l'empire après deux siècles de division et de guerre civile, lui donnant le nom de Viêt-Nam. Il avait fait de Hué sa capitale.

Hué était en pleine expansion : la citadelle avait été reconstruite, et les mandarins faisaient bâtir leur demeure. On avait besoin de bons ouvriers, de bons menuisiers et surtout de bons charpentiers.

Bon charpentier, le jeune homme l'était : il avait appris de métier de son père, qui l'avait lui-même appris de son grand-père, maître charpentier mais aussi maître d'armes. Il excellait dans le maniement des sabres, et surtout dans le combat à mains nues et le jeune homme avait hérité de ses savoirs.

A Hué, il trouve donc facilement du travail.

La coutume veut que lorsqu'une demeure est terminée, on remercie les dieux de leur clémence et on demande leur bénédiction. C'est une cérémonie qui peut durer plusieurs jours, une grande fête à laquelle participent non seulement les membres de la famille et leurs amis, mais aussi tous les corps de métier qui ont contribué à la construction de la maison. C'est un festin, certes, mais il y a aussi des concours de chants et de poésie, des démonstrations de combat et de lutte. Le jeune charpentier se sent attiré par les concours de lutte. Il s'y engage, et remporte tous les combats. Or, parmi les invités, se trouve le maître d'une école d'arts martiaux de la région. Ordinairement, il méprise les combats d'amateurs. Mais il a remarqué que ce charpentier possède une grande technique. Un de ses disciples, qui l'accompagne, ne peut résister au désir de se mesurer avec ce champion jusque là inconnu. Il fait honneur à la science de son maître et de son école. Mais il est quand même battu par le charpentier.

Le champion éveille maintenant la curiosité de tous. Il a gagné beaucoup d'argent et en a fait gagner beaucoup à ceux qui ont misé sur lui. Mais le maître d'armes ne peut accepter la défaite de son champion face à cet étranger. Lui-même, maître de son école, ne peut se permettre de se mesurer en personne à ce jeune inconnu. Mais il ne peut non plus accepter que sa réputation et son honneur soient menacés par cette défaite. Or, son école a une carte cachée, un champion inconnu, que seuls ses disciples ont vu combattre, et dont l'arme favorite est le fouet, alors que celle du charpentier est le bâton.

C'est un affrontement épique, qui soulève l'enthousiasme des spectateurs. Le jeune homme et son adversaire se battent tout l'après-midi. Avec le soir, le combat s'arrête, et recommence le lendemain. Une journée entière les deux adversaires opposent leur science, leur endurance, leur courage. Aucun ne peut avoir le dessus, et le maître d'armes fait arrêter le combat.

Entre les deux combattants, un grand sentiment de respect est né. Et le maître d'armes propose son champion en mariage au charpentier. Car ce champion, ce combattant mystérieux, c'est sa fille An, la véritable héritière de sa science et de son talent.

Ensemble, ils retournent au village de Mau-Tai, à six kilomètres de Hué. C'est le village natal du maître d'armes. Mais c'est aussi, depuis cette époque, le berceau des Phan. Car le charpentier qui épousa An, la fille de Tran le maître d'armes, s'appelle Phan Van Tinh. Lui et sa femme sont les arrière-grands-parents de mon grand-père, de son frère et de ses sœurs. C'est d'eux que descendent les deux cent cinquante personnes réunies en ce jour de mai 1973 pour le 90ème anniversaire de mon grand-père. " (PVS)
Décès : ( Source )
Culte 29ème jour du 7ème mois
Tombeau à Con Mo, village Mau Tai

Père : PHAN VAN QUANG Van Quang ( (e) 1770 - ? )
Mère : LE THI HOA ? ( (e) 1770 - ? )

Union : TRAN THI AN ? ( (e) 1800 - ? )
Enfants : PHAN THI Thi ( (e) 1830 - ? )
PHAN VAN HOA Van Hoa ( (e) 1830 - ? )
PHAN VAN TINH Van Tinh
PHAN VAN QUANG Van Quang
PHAN VAN LUAT Van Luat
TRAN THI THAO ?
LE THI HOA ?
 
 




PHAN VAN TRACH Van Trach
Naissance : estimée 1720 ( Source )

Père : PHAN VAN LUU Van Luu ( (e) 1695 - ? )
Mère : TRAN THE NGHIEN ? ( (e) 1695 - ? )

PHAN VAN TRACH Van Trach
PHAN VAN LUU Van Luu
PHAN VAN HIEN Van Hien
LE THI NAP ?
TRAN THE NGHIEN ?
 
 




PHAN VAN UYEN Van Uyen
Naissance : estimée 1720 ( Source )
Décès : ( Source )
Culte 10ème jour du 2ème mois
Tombeau à Hoi An (Quang Nam)

Père : PHAN VAN LUU Van Luu ( (e) 1695 - ? )
Mère : TRAN THE NGHIEN ? ( (e) 1695 - ? )

Union : HUYNH THI DIEM ? ( (e) 1720 - ? )
Enfants : PHAN VAN HANG Van Hang ( (e) 1745 - ? )
PHAN VAN THAY Van Thay ( (e) 1745 - ? )
PHAN THI DUNG Thi Dung ( (e) 1745 - ? )
PHAN THI DAY Thi Day ( (e) 1745 - ? )
PHAN VAN DANG Van Dang ( (e) 1745 - ? )
PHAN VAN LUAT Van Luat ( (e) 1745 - ? )
PHAN VAN UYEN Van Uyen
PHAN VAN LUU Van Luu
PHAN VAN HIEN Van Hien
LE THI NAP ?
TRAN THE NGHIEN ?
 
 




PHAN VAN VY Vy
chauffeur de Bao Dai

Naissance : vers 1912 ( Source )
Décès : vers 2002 ( Source )
PHAN VAN VY est décédé vers 2002, à l'âge de 90 ans environ.

Père : PHAN VAN TAO Tao ( ~ 1887 - ~ 1978 )

Union : ?, ÉPOUSE de PHAN VAN VY ? ( ~ 1913 - ? )
Mariage : ( Source )
La femme de Vy était fille de princesse et habitait dans la deuxième enceinte de la cité interdite. C'est ainsi que Vy, qui était le chauffeur de l'empereur Bao Dai l'a rencontrée. Ce mariage était considéré comme une grave mésalliance par sa famille, mais elle a néanmoins obtenu l'accord du conseil familial de la maison royale a cependant donné son accord.
PHAN VAN VY Vy
PHAN VAN TAO Tao
PHAN VAN CHIEM Van Chiem
TRAN THI DIEU ?
 
 
 




PHILIP Catherine
Naissance : estimée 1455 ( Source1 Source2 )
« 4 avril 1513 – constitution de dot [...] en faveur de Gabrielle de Castelviel, fille de feu Louis, destinée en mariage à Jean Serre, de Sumène, fils d’autre Jean Serre et de Catherine Philip. [...] »

Père : PHILIP Jean ( (e) 1425 - < 1473 )

Union : SERRE Jean ( (e) 1460 - ? )
Fiançailles : 1473 à Sumène 30440 ( Source )
"Antoine Philip, fils de feu Jean fustier à Sumène, fiance sa soeur Catherine à Jean, fils de Hugon Serre, fustier de Sumène, avec un dot de 50 livres tournois."
Enfants : SERRE Antoine ( (e) 1495 - ? )
SERRE Jean ( (e) 1499 - ? )
PHILIP Catherine
PHILIP Jean
 
 
 
 
 




PHILIP Jean
fustier

Naissance : estimée 1425
Domicile : à Sumène 30440 ( Source )
Décès : avant 1473 ( Source )
"Antoine Philip, fils de feu Jean fustier à Sumène, fiance sa soeur Catherine à Jean, fils de Hugon Serre, fustier de Sumène, avec un dot de 50 livres tournois."

Autre enfant : PHILIP Catherine ( (e) 1455 - ? )




PHILLIPS Catherine dite Kitty - 255
Naissance : vers 1775 ( Source )
Décès : 10 octobre 1823 ( Source1 Source2 )

Père : PHILLIPS John ( (e) 1745 - ? )

Union 1 : PAGE ? ( ~ 1775 - < 1800 )
Mariage : avant 1800 ( Source1 Source2 )
J'ai retrouvé dans Ancestry la trace d'un mariage le 13 septembre 1789 entre une Catherine Phillips et un William Page, mais étant donné la fréquence du patronyme Phillips, c'est juste pour mémoire que je note cet acte. (HF - 25/02/2015)
Union 2 : BUTTER Charles Grenville ( 1775 - 1823 )
Mariage : 8 avril 1800 à Londres Saint Clement Danes Westminster ( Source1 Source2 )
Enfants : BUTTER Catherine ( 1801 - ? )
BUTTER Charles Grenville ( 1802 - ? )
BUTTER Charles Lock ( 1804 - ? )
PHILLIPS Catherine
PHILLIPS John
 
 
 
 
 




PHILLIPS John - 510
Naissance : estimée 1745 ( Source )
Rien n'indique qu'il s'agisse du mien :
Royal Hospital, Chelsea: Discharge Documents of Pe... WO 121/12/50
JOHN PHILLIPS
Born COLCHESTER, Essex
Served in 19th Foot Regiment
Discharged aged 37 after 20 years of service
Covering dates 1791
Availability Open Document, Open Description,
Normal Closure before FOI Act: 30 years
Held by
The National Archives, Kew
Certificates of service (disability
Date: 1791

ie born 1754
Domicile : 1800 ( Source )
Il y a une Aldborough rd à Ilford (commune noyée dans le nord-est du grand Londres) dans l'Essex, qui arrive à un Alboroug hall farm, enclave rurale aux marches de cette zone urbanisée. (HF - 8 avril 2012)

Autre enfant : PHILLIPS Catherine ( ~ 1775 - 1823 )




PICARD Edouard
Naissance : 1877 ( Source )

Union : BUSCK Paule "Jeanne" Lucienne ( 1884 - ? )




PICHAN ?
Naissance : estimée 1660
Témoin : 11 mars 1699 à Sète 34 Saint Louis ( Source )





PICK Susanne Marie
Naissance : estimée 1770
Source : AD 67 : acte de maraige Grimmer x Lauth
En vie : 14 mars 1820 à Strasbourg 67
Source : AD 67 : acte de maraige Grimmer x Lauth

Union : LAUTH Jean Jacques ( (e) 1760 - ? )
Enfant : LAUTH Marie ( 1802 - ? )




PILLU Loïc
Naissance : vers 1905 à Toulon 83 ( Source )

Union : CHAVEROT Marie-Thérèse ( (e) 1900 - ? )
Mariage : 1938 à Neuilly-sur-Seine 92 ( Source )




PINEAU Jean - 4 010
procureur du roi en la Sénéchaussée

Naissance : estimée 1625 ( Source1 Source2 )
Événement : ( Source )

Union : SEBRON Marguerite ( (e) 1625 - ? )
Enfant : PINEAU Marguerite ( ~ 1654 - 1740 )




PINEAU Marguerite - 2 005
Naissance : vers 1654 ( Source )
Décès : 6 août 1740 ( Source )

Père : PINEAU Jean ( (e) 1625 - ? )
Mère : SEBRON Marguerite ( (e) 1625 - ? )

Union : FÉ Jean ( 1654 - < 1737 )
Mariage : 19 mai 1681 à Cognac 16 Eglise Saint-Léger ( Source1 Source2 )
Enfants : FÉ Louis ( (c) 1671 - 1755 )
FÉ Jean ( 1685 - 1748 )
PINEAU Marguerite
PINEAU Jean
 
 
SEBRON Marguerite
 
 




PINET Anne - 1 745
Naissance : estimée 1610 ( Source )

Union : JOHANNOT Barthélémi ( (e) 1610 - 1673 )
Enfants : JOHANNOT Mathieu ( ~ 1640 - 1724 )
JOHANNOT Jean ( 1642 - > 1711 )


                     


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