Fiches individuelles


BOECKEL Esther
Naissance : 31 décembre 1777 ( Source1 Source2 )

Père : BOECKEL Andréas ( 1740 - 1784 )
Mère : BITTERLIN Anna-Richardis ( 1739 - 1817 )

Union : KAYSER Pierre "Jacques" ( ~ 1777 - ? )
Mémoires de Jean Valention Haas : ( Source )
Voici ce que Jean Valentin Haas écrit dans ses mémoires à propos de sa belle-soeur Esther Boeckel et de son mari Jacques Kayser :

"Notre mariage étant déjà publié tant à Framont qu'à Mittelbergheim, nous le célébrâmes au jour fixé 9 Juin [1801] à Mittelbergheim où les deux frères de ma chère Richarde nous unirent à jamais, l'un André en qualité de Maire civilement & l'autre en qualité de Ministre de l'Evangile, religieusement. Ces Cérémonies furent suivies d'un Banquet où les frères & sœurs tant de ma femme que de moi ainsi que Mr Champy & d'autres amis furent invités le soir les jeunes gens amenèrent des musiciens on dansa bien avant dans la nuit. Le lendemain une partie des Cousins partit d'autres firent une promenade dans Environs & nous dans cet intervalle préparâmes notre départ pour Framont. Le soir la Société se réunit encore pour un Souper amical & le lendemain tout le monde partit. Nous fîmes encore quelques Visites & le 12 Juin j'emmenai ma nouvelle épouse dans mon domicile, ses frères André & Jonas & son beau-frère Kayser nous accompagnoient, nous soupâmes chez Mr Champy après avoir arrangé un peu les meubles & effets que ma femme avait amené. Le 13 mes beaux-frères André Boeckel & Jacques Kayser s'en retournèrent à Mittelbergheim & Jonas Boeckel à Rothau.

Mon Epouse devint encore grosse & le 8 Avril 1803 à une heure après midi elle mit au monde un fils auquel nous donnâmes le nom d'Albert, sa grossesse de ses couches furent encore, Dieu merci, aussi heureuses que la première fois. Le 19è du même mois mon Beau-frère Boeckel le baptisa dans ma maison comme le premier, les parrains & marraines furent le frère de ma femme Daniel, mon ancien ami Frédéric Piton, Rélieur à Strasbourg, Madame Elisab. Schwartz femme de Jonas Boeckel mon beau frère & Esther Boeckel sœur de ma femme & épouse de Jacques Kayser & la Cérémonie fut encore suivie d'un Banquet amical ; le petit Albert n'étoit pas si fort & si robuste que sa sœur aînée, mais malgré cela il se portoit bien ainsi que sa mère.

4 juillet 1816 - Madame Piton & Kayser arrivent - je pars le soir pour les forêts en passant par Philippsbourg, le Mückenkopf & Grafenweyer jusqu'à Obersteinbach où je couche avec Glonner dans une mauvaise auberge.

7 juillet 1816 - Départ de Mme Piton & Kayser - Pétition pour le renouvellement du Bail pour les forêts de Hanau, partie bavaroise.

14 septembre1818 - Je me rendis à Mittelbergheim chez mon beau frère Daniel Boeckel, qui parcourut avec moi nos vignes - chez la Vve de André Boeckel, chez Kayser ; de là à Barr chez Richard Dietz, marchand de fer, puis chez Chrétien Brion qui m'accompagne à Gertweiler, d'où je pars pour Obernay où je fais ma visite chez les Marchands de fer Gyss & Gand, après quoi je rentre en ville où je fais encore quelques visites.

17 mars 1823 - Parti à neuf heures avec ma femme pour Mittelbergheim nous descendons à la Licorne, sa maison paternelle, où nous dinons - après midi son frère Daniel & sa femme, sa sœur Esther & son mari Kayser y viennent - avec Daniel dans la Cave où est déposé notre vin & celui de notre gendre - retourné chez Daniel & ensuite à la Licorne où je fais marché avec le tonnelier Rieb pour des tonneaux neufs pour mon gendre Petri & règle mon compte avec Kayser - nous soupons ensuite en famille.

16 avril 1823 - Nous partons tous par le Dauenhauerthal au Hoechst où nous faisons la même opération - nous dinons à la forêt & achevons après diner notre opération au Kühberg, de là les Agents forestiers se rendent encore au Nestelsberg, & moi je retourne à Niederbronn - Catherine Kayser nièce de ma femme arrive avec le messager."
Enfants : KAYSER Anne Frédérique ( 1801 - ? )
KAYSER Catherine ( (e) 1805 - ? )
KAYSER Richarde ( ~ 1810 - ? )
BOECKEL Esther
BOECKEL Andréas
BOECKEL Jonas
RIEFFEL Anna Catharina
BITTERLIN Anna-Richardis
BITTERLIN Andreas
KAYSER Esther




BOECKEL Eugène
médecin et professeur

Naissance : 13 mars 1811 à Gertwiller 67 ( Source1 Source2 Source3 )
Voilà comment Jean Valentin Haas rapporte cette naissance dans ses Mémoires :

"En février [1811] je me rendis en ville pour quelques jours le 13 la femme de Boeckel accoucha d'un garçon - Eugène"

D'après le registre des naissances de Gertwiller, il s'agit du 13 mars et non du 13 février. (HF - 21/12/2010)
Biographie : ( Source )
"Après un essai de théologie, il s'orienta lui aussi vers la médecine, s'installa en 1839 à Strasbourg où il devint une personnalité [...]"
Décès : 16 novembre 1896 à Berne ( Source )
"Il mourut à 85 ans à Berne où il s'était retiré peu avant chez sa fille qui y était mariée, après que, le 1er novembre 1892, son fils, le docteur Edouard Boeckel, fut décédé."

Père : BOECKEL Jonas ( 1764 - 1834 )
Mère : SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth" ( 1773 - 1811 )

Union : OTTMANN Marie Louise Mathilde ( 1818 - 1881 )
Mariage : 27 avril 1839 à Strasbourg 67 ( Source )
BOECKEL Eugène
BOECKEL Jonas
BOECKEL Andréas
BITTERLIN Anna-Richardis
SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth"
SCHWARTZ Jean
METZLER Anne Elisabeth




BOECKEL Eugène
médecin, professeur agrégé de chirurgie

Naissance : 21 septembre 1831 à Strasbourg 67 ( Source )
Événement : 1863 ( Source )
Eléments biographiques : 1871 ( Source )
Un frère de sa mère [Emilie Boeckel], notre oncle Eugène, celui qui avait été décoré en 1871 pour l’ambulance qu’il menait à Fröschwiller, avait voulu prouvé son sang-froid en faisait le tour du parapet [de la cathédrale de Strasbourg] à cloche-pied. Le moindre faux-pas l’aurait précipité dans le vide. Or, il avait réussi son exploit. Chaque fois qu’un enfant de la famille se montrait peureux ou maladroit, un parent se trouvait là pour lui rappeler l’exemple de l’oncle Eugène.

Louise Weiss, Mémoires d'une Européenne (Albin Michel, 1968)
Décès : 23 février 1900 à Marseille 13 ( Source )
"Le 21 février 1900, il se rendait de Marseille en Corse lorsqu'il eut un accès de faiblesse. On le ramena à son hôtel, où il succomba à une pneumonie le 23 février."

Père : BOECKEL Théodore ( 1802 - 1869 )
Mère : FRANTZ Sophie Henriette ( 1805 - 1845 )

BOECKEL Eugène
BOECKEL Théodore
BOECKEL Jonas
SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth"
FRANTZ Sophie Henriette
FRANTZ Christian Geoffroy
SCHATZ Sophie Charlotte




BOECKEL Frédéric dit Fritz
tonnelier - maire de Mittelbergheim

Naissance : vers 1805 ( Source1 Source2 Source3 )
Décès : 4 novembre 1870 à Mittelbergheim 67 ( Source )

Père : BOECKEL Johann "Daniel" ( 1772 - 1837 )
Mère : BAUMHAUER Marie "Salomé" ( 1780 - 1861 )

Union : BOECKEL Sophie Frédérique ( ~ 1804 - 1870 )
BOECKEL Frédéric
BOECKEL Johann "Daniel"
BOECKEL Andréas
BITTERLIN Anna-Richardis
BAUMHAUER Marie "Salomé"
BAUMHAUER Jean
ARNOLD Anne-Marie




BOECKEL Guillaume
Naissance : 23 août 1803 à Gertwiller 67 ( Source )
Décès : 7 septembre 1803 à Gertwiller 67 ( Source )

Père : BOECKEL Jonas ( 1764 - 1834 )
Mère : SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth" ( 1773 - 1811 )

BOECKEL Guillaume
BOECKEL Jonas
BOECKEL Andréas
BITTERLIN Anna-Richardis
SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth"
SCHWARTZ Jean
METZLER Anne Elisabeth




BOECKEL Henriette
Naissance : 23 janvier 1805 à Gertwiller 67 ( Source1 Source2 )
Décès : 7 décembre 1847 à Strasbourg 67 ( Source )

Père : BOECKEL Jonas ( 1764 - 1834 )
Mère : SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth" ( 1773 - 1811 )

Union : LURTZING Jean-Jacques ( 1802 - 1832 )
Mariage : 4 octobre 1830 à Strasbourg 67 ( Source )
BOECKEL Henriette
BOECKEL Jonas
BOECKEL Andréas
BITTERLIN Anna-Richardis
SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth"
SCHWARTZ Jean
METZLER Anne Elisabeth




BOECKEL Jacob - 14 720
tonnelier

Naissance : 1519 ( Source )
Décès : 1582 à Mittelbergheim 67 ( Source )

Union : ÉPOUSE de JACOB BOECKEL Barbe ( 1522 - 1564 )
Mariage : 1540 ( Source )
Enfant : BOECKEL Michaël ( 1540 - 1586 )




BOECKEL Jacob - 3 680
cordonnier - échevin

Naissance : 2 septembre 1573 à Barr 67 ( Source1 Source2 )
Jacob Boeckel est né le 14 trinitatis 1573 (extrait des Paroisses évangéliques de Barr, Mittelberheim et Andlau).
Décès : 9 mars 1638 à Barr 67 ( Source1 Source2 Source3 )
Inhumation : 11 mars 1638 ( Source )

Père : BOECKEL Michaël ( 1540 - 1586 )
Mère : HÖLTZL Maria ( 1546 - 1576 )

Union : GRESSENDORF Agatha ( 1602 - 1661 )
Mariage : 26 septembre 1619 à Mittelbergheim 67 ( Source1 Source2 Source3 )
Ils se marient le 26 trinitatis 1619.
Enfants : BOECKEL Andréas ( 1621 - ? )
BOECKEL Johann Friedrich ( 1623 - ? )
BOECKEL Daniel ( 1626 - ? )
BOECKEL Anna Maria ( 1628 - ? )
BOECKEL Daniel ( 1631 - ? )
BOECKEL Johann Friedrich ( 1634 - ? )
BOECKEL Jonas ( 1636 - 1707 )
BOECKEL Jacob
BOECKEL Michaël
BOECKEL Jacob
ÉPOUSE de JACOB BOECKEL Barbe
HÖLTZL Maria
HÖLTZLIN Bernhart
 




BOECKEL Johann "Daniel"
boulanger

Naissance : 2 mars 1772 à Mittelbergheim 67 ( Source1 Source2 Source3 )
Mémoires de Jean Valention Haas : 1801 ( Source )
Voici ce que Jean Valentin Haas écrit dans ses mémoires à propos de son beau-frère Daniel Boeckel :

"Notre mariage étant déjà publié tant à Framont qu'à Mittelbergheim, nous le célébrâmes au jour fixé 9 Juin [1801] à Mittelbergheim où les deux frères de ma chère Richarde nous unirent à jamais, l'un André en qualité de Maire civilement & l'autre en qualité de Ministre de l'Evangile, religieusement. Ces Cérémonies furent suivies d'un Banquet où les frères & sœurs tant de ma femme que de moi ainsi que Mr Champy & d'autres amis furent invités le soir les jeunes gens amenèrent des musiciens on dansa bien avant dans la nuit. Le lendemain une partie des Cousins partit d'autres firent une promenade dans Environs & nous dans cet intervalle préparâmes notre départ pour Framont. Le soir la Société se réunit encore pour un Souper amical & le lendemain tout le monde partit. Nous fîmes encore quelques Visites & le 12 Juin j'emmenai ma nouvelle épouse dans mon domicile, ses frères André & Jonas & son beau-frère Kayser nous accompagnoient, nous soupâmes chez Mr Champy après avoir arrangé un peu les meubles & effets que ma femme avait amené. Le 13 mes beaux-frères André Boeckel & Jacques Kayser s'en retournèrent à Mittelbergheim & Jonas Boeckel à Rothau.

Mon Epouse devint encore grosse & le 8 Avril 1803 à une heure après midi elle mit au monde un fils auquel nous donnâmes le nom d'Albert, sa grossesse de ses couches furent encore, Dieu merci, aussi heureuses que la première fois. Le 19è du même mois mon Beau-frère Boeckel le baptisa dans ma maison comme le premier, les parrains & marraines furent le frère de ma femme Daniel, mon ancien ami Frédéric Piton, Rélieur à Strasbourg, Madame Elisab. Schwartz femme de Jonas Boeckel mon beau frère & Esther Boeckel sœur de ma femme & épouse de Jacques Kayser & la Cérémonie fut encore suivie d'un Banquet amical ; le petit Albert n'étoit pas si fort & si robuste que sa sœur aînée, mais malgré cela il se portoit bien ainsi que sa mère.

14 septembre 1818 - Je me rendis à Mittelbergheim chez mon beau frère Daniel Boeckel, qui parcourut avec moi nos vignes - chez la Vve de André Boeckel, chez Kayser ; de là à Barr chez Richard Dietz, marchand de fer, puis chez Chrétien Brion qui m'accompagne à Gertweiler, d'où je pars pour Obernay où je fais ma visite chez les Marchands de fer Gyss & Gand, après quoi je rentre en ville où je fais encore quelques visites.

8 janvier 1819 - Je pars avec Boeckel pour Mittelbergheim, nous faisons une visite à Daniel qui avait été très malade mais qui va beaucoup mieux, de là nous allons à Barr où je fais ma visite aux marchands de fer & à Mad. Brion nous retournons à Gertweiler d'où je me rends avec Boeckel & sa femme à Gottsweiler, nous dinons chez Braunwald & le soir je retourne à Strasbourg.

26 septembre 1819 - Le matin à l'église, après le Service divin fait un tour à Barr chez Chrétien Brion & sa mère, retourné à Gertweiler, mon beau frère Daniel y vient, nous parlons de vins puis dinons ; après diner encore une promenade à Barr ; le soir retourné à Gertweiler où Ehrmann m'envoie un exprès.

25 novembre 1819 - Albert & Henriette, puis M. Eugène de Dietrich, Daniel Boeckel - arrangé quelques affaires puis retourné à Niederbronn.

13 octobre 1822 - Réglé avec M. Haan les comptes des deux trimestres évolus - M. Marocco m'envoie l'acte de Vente des 13,000 Cordes de bois de Drion - diné chez Boeckel - après midi Jost vient me voir chez moi - j'écris à Daniel Boeckel & à [Küss ?] le soir chez Boeckel avec lequel je règle mon compte, discussion sur Auguste - passé la soirée & soupé en grande Compagnie chez lui.
2 décembre 1822 - Avec Boeckel deux fois chez M. Müller sans le trouver, fais quelques emplettes, chez M. Renouard, chez Mad. de Dietrich, chez Mad. Stromeyer - à la Préfecture, comité d'évaluation - diné au Corbeau avec Jost & Bley - Daniel Boeckel y vient, il me remet son Compte de l'Année écoulée - après diner encore chez Boeckel avec lui chez M. Müller convenu que Auguste entrera en apprentissage chez lui d'aujourd'hui en huit, 9 court pour quatre années - chez Klein à l'entrepôt des fortifications - chez Haufé - chez Ott où je trouve M. Lauer qui m'entretient des ferrements pour les écluses du Canal - chez Schneegans - chez Boeckel.
Décès : 18 avril 1837 à Mittelbergheim 67 ( Source )

Père : BOECKEL Andréas ( 1740 - 1784 )
Mère : BITTERLIN Anna-Richardis ( 1739 - 1817 )

Union : BAUMHAUER Marie "Salomé" ( 1780 - 1861 )
Mariage : 9 mars 1802 à Mittelbergheim 67 ( Source )
Enfant : BOECKEL Frédéric ( ~ 1805 - 1870 )
BOECKEL Johann "Daniel"
BOECKEL Andréas
BOECKEL Jonas
RIEFFEL Anna Catharina
BITTERLIN Anna-Richardis
BITTERLIN Andreas
KAYSER Esther




BOECKEL Johann "Jacob"
Naissance : 18 avril 1775 ( Source )
Décès : entre 1792 et 1797 ( Source )
Jacob BOECKEL est décédé vraisemblablement entre 1792 et 1797, puisque l'acte mentionne "décédé en Vendée"

Père : BOECKEL Andréas ( 1740 - 1784 )
Mère : BITTERLIN Anna-Richardis ( 1739 - 1817 )

BOECKEL Johann "Jacob"
BOECKEL Andréas
BOECKEL Jonas
RIEFFEL Anna Catharina
BITTERLIN Anna-Richardis
BITTERLIN Andreas
KAYSER Esther




BOECKEL Johann Friedrich
Naissance : 1623 ( Source )
Johann Friedrich BOECKEL voit le jour le 16 trinitatis 1623.

Père : BOECKEL Jacob ( 1573 - 1638 )
Mère : GRESSENDORF Agatha ( 1602 - 1661 )

BOECKEL Johann Friedrich
BOECKEL Jacob
BOECKEL Michaël
HÖLTZL Maria
GRESSENDORF Agatha
GRESSENDORF Andreas
DANTZER Anna




BOECKEL Johann Friedrich
Naissance : 1634 ( Source )
Johann Friedrich BOECKEL voit le jour à l'Ascension 1634.

Père : BOECKEL Jacob ( 1573 - 1638 )
Mère : GRESSENDORF Agatha ( 1602 - 1661 )

BOECKEL Johann Friedrich
BOECKEL Jacob
BOECKEL Michaël
HÖLTZL Maria
GRESSENDORF Agatha
GRESSENDORF Andreas
DANTZER Anna




BOECKEL Johann Michael
Naissance : 3 juin 1701 à Mittelbergheim 67 ( Source )

Père : BOECKEL Nicolas ( 1666 - 1709 )
Mère : DANTZERIN Susanna ( 1671 - 1727 )

BOECKEL Johann Michael
BOECKEL Nicolas
BOECKEL Jonas
GÜNTZERIN Maria
DANTZERIN Susanna
DANTZER Michael
BRUNNER Barbara




BOECKEL Jonas - 1 840
boucher - maire de Mittelbergheim

Naissance : 18 septembre 1636 à Barr 67 ( Source1 Source2 Source3 )
Jonas BOECKEL voit le jour le 14 trinitatis 1636.
Baptême : 18 septembre 1636 ( Source )
Décès : 10 août 1707 à Mittelbergheim 67 ( Source1 Source2 )

Père : BOECKEL Jacob ( 1573 - 1638 )
Mère : GRESSENDORF Agatha ( 1602 - 1661 )

Union : GÜNTZERIN Maria ( 1645 - 1706 )
Mariage : 20 février 1665 à Mittelbergheim 67 ( Source1 Source2 )
Enfants : BOECKEL Nicolas ( 1666 - 1709 )
BOECKEL Agatha ( 1671 - 1730 )
BOECKEL Agnès ( 1673 - 1691 )
BOECKEL Jonas ( 1676 - 1761 )
BOECKEL Daniel ( 1680 - ? )
BOECKEL Maria ( 1683 - ? )
BOECKEL Maria ( 1687 - ? )
BOECKEL Jonas
BOECKEL Jacob
BOECKEL Michaël
HÖLTZL Maria
GRESSENDORF Agatha
GRESSENDORF Andreas
DANTZER Anna




BOECKEL Jonas
Naissance : 24 décembre 1676 ( Source )
Décès : 3 octobre 1761 ( Source )

Père : BOECKEL Jonas ( 1636 - 1707 )
Mère : GÜNTZERIN Maria ( 1645 - 1706 )

BOECKEL Jonas
BOECKEL Jonas
BOECKEL Jacob
GRESSENDORF Agatha
GÜNTZERIN Maria
GÜNTZER Niclaus
SCHALCK Magdalena




BOECKEL Jonas dit l'aîné - 460
tonnelier, échevin ("Heimburger") à Mittelbergheim

Naissance : 16 février 1699 à Mittelbergheim 67 ( Source1 Source2 Source3 )
Décès : 19 décembre 1776 à Mittelbergheim 67 ( Source1 Source2 )

Père : BOECKEL Nicolas ( 1666 - 1709 )
Mère : DANTZERIN Susanna ( 1671 - 1727 )

Union : RIEFFEL Anna Catharina ( 1699 - 1770 )
Mariage : 15 septembre 1722 à Mittelbergheim 67 ( Source )
Enfants : BOECKEL Andreas ( 1723 - 1736 )
BOECKEL Susanna ( 1726 - 1729 )
BOECKEL Anna Catherina ( 1730 - 1732 )
BOECKEL Jonas ( 1732 - 1732 )
BOECKEL Anna Catharina ( 1734 - 1737 )
BOECKEL Anna Maria ( 1736 - 1746 )
BOECKEL Andréas ( 1740 - 1784 )
BOECKEL Anna ( 1744 - 1752 )
BOECKEL Jonas
BOECKEL Nicolas
BOECKEL Jonas
GÜNTZERIN Maria
DANTZERIN Susanna
DANTZER Michael
BRUNNER Barbara




BOECKEL Jonas
Naissance : 20 novembre 1732 à Mittelbergheim 67 ( Source )
Décès : 29 novembre 1732 à Mittelbergheim 67 ( Source )

Père : BOECKEL Jonas ( 1699 - 1776 )
Mère : RIEFFEL Anna Catharina ( 1699 - 1770 )

BOECKEL Jonas
BOECKEL Jonas
BOECKEL Nicolas
DANTZERIN Susanna
RIEFFEL Anna Catharina
RIEFFEL Andreas
KAYSER Susanna




BOECKEL Jonas
pasteur

Naissance : 1 août 1764 à Mittelbergheim 67 ( Source )
Carrière - 1 : 1793 à Rothau 67 ( Source )
De 1793 à 1803, Jonas BOECKEL est pasteur à Rothau, dont il est également le maire.
Arrestation : 1794 ( Source )
"Jean-Frédéric OBERLIN avait accueilli avec enthousiasme les idées de la Révolution mais il fut victime de l'intolérance des sans-culottes. Pourtant il s'était joint aux fêtes patriotiques […]. Lorsqu'en avril 1794 les temples furent fermés et les pasteurs interdits d'exercer leur ministère, il « établit un club à la place du service divin pour, sous ce nom, continuer nos assemblées ». Alors qu'il était venu à Rothau pour un baptême le 28 juillet, il fut arrêté avec son collègue Jonas Boeckel et transféré à Sélestat. Heureusement, il fut libéré cinq jours plus tard."
Mémoires de Jean Valention Haas : 1797 ( Source )
Voici ce que Jean Valentin Haas écrit dans ses mémoires à propos de son beau-frère Jonas Boeckel :

"   C'est ainsi que se passa l'été de 1797 pendant lequel j'eus l'occasion de renouveller la Connoissance de mon ami Jonas Boeckel de Mittelbergheim, que je trouvai par hazard sur mon chemin - après les premières félicitations sur l'heureuse rencontre, il me dit qu'il étoit Ministre à Rothau, au cy devant Ban de la Roche & m'invita de venir le voir, c'est ce que je fis bientôt & plusieurs fois. Par lui je fis la Connoissance de Mr Karth qui s'étoit associé à Mr Dietrich pour l'Exploitation de ses forges du Bas Rhin & de Rothau & Boeckel auquel j'avois fait part du peu de gout que j'avais de rester [?] pour travailler comme un simple Ouvrier & du peu d'espoir [qui ?] me restoit de faire dans mon métier des affaires avantageuses en parla à Mr Karth qui me trouvant en état de remplir une place d'employé aux forges m'en fit la proposition. Il fut donc convenu que j'aurois une place dans les forges de Rothau. Mais comme Boeckel lui avoit dit en même temps que j'avois des connoissances techniques, ils me prit avec lui dans les forges du Bas Rhin où ils étoient intentionnés de rétablir les Batiments hydrauliques qui étoient tombés en décadence pendant le Séquestre qui avoient été mis sur les biens de la famille Dietrich durant le règne de la terreur & par l'émigration du Directeur de ces différentes usines. Là je lui indiquois les moyens les plus économiques & les plus prompts que je crus apercevoir pour la réparation solide & prompte des Canaux, indispensables pour le Roulement des forges & fourneaux & en ayant levé & dressé les Plans, il les soumit à l'approbation de Mr Dietrich son associé & d'un Commun Accord, je fus prié de présider & diriger l'exécution de mes plans aussitôt que la Saison le permettroit, proposition que j'acceptois avec plaisir.

   Enfin, vers le 14 Mars 1800 les Arrangements définitivement faits & l'Acte social passé, je retournai à Reichshoffen avec les fonds pour solder les Comptes de l'ancienne Société. Pendant mon séjour à Strasbourg Monsieur Champy Maître de forges à Framont & qui venoit d'acheter de Mr Dietrich aussi celle de Rothau me fit proposer par Boeckel une Place chez lui, si je voulais quitter les forges de Mr Dietrich. Plusieurs désagréments que j'avois essuyé, le retour annoncé de Kroll, qui devoit reprendre la Direction des fonderies de Reichshoffen ce qui m'aurait forcé à rester dans la partie des forêts qui ne me convenait guère, enfin un conflit de Circonstance & de raisons dont je ne pourrois plus donner le détail m'engagèrent à ne pas rejetter ces propositions.
De retour à Reichshoffen, Mr Champy aussi membre de la nouvelle Société & un des gérants y vint lui même & me fit des propositions que je trouvais si acceptables que je ne crus pas devoir hésiter à les accepter, je lui promis donc que je viendrais chez lui si Mr Dietrich y consentoit. Il parla à Mr Dietrich & celui-ci n'osant rien refuser à M. Champy, sans lequel ses affaires n'auroient peut-être jamais pris la tournure avantageuse qu'elles [promettoient,] consentit.
Je finissois donc mes Comptes de Reichshoffen & sur ces entrefaits Kroll étant revenu, je me rendis à Niederbronn pour y terminer tout ce qui était relatif à l'Administration des forges. Cette Besogne faite je me rendis à Strasbourg & de là à Framont où j'arrivois le 28 Juin.
Le séjour de Framont quoique dans le fond beaucoup moins agréable que celui que je venais de quitter avoit également beaucoup plus d'attraits pour moi en ce qu'il me procuroit la facilité de voir très souvent mon ancien & intime Ami Boeckel Ministre à Rothau, peu de tems après mon arrivée à ma nouvelle Destination sa femme étant accouchée d'une fille il me proposa d'en être le Parrain, proposition que j'acceptois avec Plaisir. A ce Baptême qui eut lieu le à Rothau dans sa maison je vis pour la première fois sa sœur Richarde Elisabeth qui fut une des Marraines & comme après le Baptême elle resta chez lui, je la vis très souvent & bientôt je sentis naître en moi un Sentiment que je n'avois pas connu jusqu'alors quoiqu'à l'âge de 34 ans, bref je devins amoureux de Mlle Boeckel & comme je croyois m'apercevoir que je ne lui étois pas entièrement indifférent, je me rendis encore plus souvent à Rothau qu'auparavant & quoique beaucoup & assez agréablement occupé à Framont je m'en esquivois également le plus souvent possible pour aller diner & même souper & coucher chez l'ami Boeckel, sans avoir cependant le courage de lui déclarer franchement ce que je sentois pour sa sœur. Mais lui, plus pénétrant que je ne le croyois, en soupçonna bientôt quelque chose & un soir qu'il étoit resté chez moi à Framont pour coucher, il me fournit l'occasion de lui faire une déclaration. Quelle fut ma joïe lorsqu'il m'assura que lui de son côté, loin de trouver à redire à mes vuës sur sa sœur, verroit même avec Plaisir notre union & me promit qu'il sonderait l'inclination de sa Sœur & m'en rendoit compte. Quelques jours après il me fit entrevoir que sa Sœur n'étoit pas éloigné de donner son consentement. Je l'invitois pour voir le logement que Mr Champy me cédoit, il y vint avec sa femme & sa sœur, on dîna chez Mr Champy & après diner je conduisois toute la Compagnie dans mon logement.

Janvier 1801 - Le Dimanche après je me rendis comme de Coutume à Rothau & le soir avant de m'en retourner me trouvant seul avec elle dans la chambre d'en haut je saisis ce moment pour lui demander si Framont & ma maison lui plaisoient & sur sa réponse affirmative je lui demandois si elle se sentoit disposée à partager ce logement avec moi ? elle me répondit que si sa mère & son frère y consentoient elle y consentirai aussi ! Je ne sais plus ce que je dis alors, mais tout ce que je sais c'est que j'étais au comble de mes vœux, sachant que son frère m'étoit favorable & qu'il avoit beaucoup d'ascendant sur sa Mère espérant par conséquent qu'il lui serait facile de la faire entrer dans nos vuës - dans cette douce espérance je saisis sa main, elle se leva de son siège & le cœur palpitant de joïe & d'amour je l'embrassai pour la première fois en balbutiant quelques mots probablement sans suite.
C'étais un moment bien doux pour moi & il me seroit impossible d'exprimer ce que je sentois alors. Un moment après rentra Madame Boeckel, je tenois encore la main de ma chère future - car je la regardois déjà comme telle - je la menai à sa rencontre & lui dis d'un ton assuré : Madame Boeckel ! Boeckel & moi sommes dorénavant inséparables pour le reste de nos jours ! &c &c Je ne songeois plus à m'en aller ce soir à Framont j'allois trouver Boeckel & lui fit la même confidence, nous passâmes la soirée ensemble je couchais à Rothau, sans dormir tant j'étois agité & ému - & le lendemain après le déjeuner je m'en retournois à Framont non sans regret d'être obligé de m'éloigner encore de l'objet de mon amour - je me rendis à Rothau encore plus souvent qu'auparavant, enfin vint le moment redouté mais prévu où ma chère Richarde devoit retourner chez sa mère, son frère m'en prévint je lui propose de l'accompagner chez elle pour obtenir de sa mère son consentement & sa bénédiction que j'espérois tout en craignant son refus, ce qui m'eut été pire que la mort.
Nous arrivons à Mittelbergheim le 21 février 1801, Boeckel parle d'abord à sa mère seul, on discute la proposition dans une autre chambre, j'étois sur les braises enfin Boeckel vient me dire que la Mère faisoit beaucoup de difficultés ; je veux lui parler aussi - elle me fait beaucoup d'objections - après une longue discussion à laquelle le frère & la sœur , le beau-frère & la belle sœur prirent part, la mère résistoit moins, j'eus quelques lueurs d'espérances mais voyant qu'il en coutoit beaucoup à la mère de consentir à se séparer de sa fille, je n'insistais pas absolument ce soir à son assentiment ; nous restâmes le lendemain, je gagnois toujours plus l'amitié de la mère & des frères & sœurs sans être encore sûr de ma destinée. Nous partîmes même sans avoir le consentement formel de la mère, mais avec la conviction intime qu'elle le donnera également.
Effectivement après avoir fait quelques tentatives infructueuses pour détourner sa fille du Projet de s'établir à Framont elle consentit à notre union & le 24 Mars je me rendis à Mittelbergheim pour la passation du Contrat de Mariage - le 4 Avril ma future vint avec une de ses amies voir son frère à Rothau & avec bonheur toute la Compagnie me rendit aussi visite à Framont où nous dînâmes tous ensemble chez Mr Champy après midi je les accompagnois à Rothau & le lendemain elle & sa Compagne repartirent pour Mittelbergheim. J'allois le plus souvent possible lui rendre visite chez elle, & quoique sa mère me prit en amitié je ne pouvois pas obtenir d'elle qu'elle consentit à notre mariage à la St Jean. Le 24 Avril je m'y rendis encore & le lendemain nous partîmes ensemble pour Strasbourg où je présentai ma future à mes parents & amis de là nous allâmes gais [?] auprès de Mr Brion Ministre dont l'Epouse est la sœur de ma future, nous y restâmes huit jours nous retournâmes de là par Strasbourg à Mittelbergheim où je laissois encore ma future pour retourner à Framont après avoir obtenu la fixation du jour de nos noces au 9 Juin suivant.

   Notre mariage étant déjà publié tant à Framont qu'à Mittelbergheim, nous le célébrâmes au jour fixé 9 Juin à Mittelbergheim où les deux frères de ma chère Richarde nous unirent à jamais, l'un André en qualité de Maire civilement & l'autre en qualité de Ministre de l'Evangile, religieusement. Ces Cérémonies furent suivies d'un Banquet où les frères & sœurs tant de ma femme que de moi ainsi que Mr Champy & d'autres amis furent invités le soir les jeunes gens amenèrent des musiciens on dansa bien avant dans la nuit. Le lendemain une partie des Cousins partit d'autres firent une promenade dans Environs & nous dans cet intervalle préparâmes notre départ pour Framont. Le soir la Société se réunit encore pour un Souper amical & le lendemain tout le monde partit. Nous fîmes encore quelques Visites & le 12 Juin j'emmenai ma nouvelle épouse dans mon domicile, ses frères André & Jonas & son beau-frère Kayser nous accompagnoient, nous soupâmes chez Mr Champy après avoir arrangé un peu les meubles & effets que ma femme avait amené. Le 13 mes beaux-frères André Boeckel & Jacques Kayser s'en retournèrent à Mittelbergheim & Jonas Boeckel à Rothau.
Nous voilà donc installés dans notre ménage je travaillois comme à l'ordinaire ; notre frère Jonas Boeckel & sa femme vinrent souvent nous voir & nous leur rendîmes aussi Visite le plus souvent possible, aussi longtemps qu'ils restèrent à Rothau.
Au reste notre manière de vivre étoit toute simple & uniforme de sorte que je n'en ferai pas une description, quand nous étions sur le [?] nous fîmes souvent des petites promenades dans les environs dont la beauté sauvage & les sombres forêts sont entièrement faits pour des promenades d'amoureux.

Le Baptême [de Sophie, ma première fille] eut lieu le 25 Mars [1802] dans ma maison à Framont, mon beau-frère Boeckel l'administra en présence des parrains & marraines qui furent mon beau-frère Schlagdenhaufen, le beau-frère de ma femme & ma sœur Salomé, femme Lix & la belle-sœur de ma femme Anne Marie Boeckel née Baumhauer de Mittelbergheim & de plusieurs personnes de notre Connaissance après la Cérémonie nous dînâmes ensemble & le lendemain nos convives s'en retournèrent chez eux.

Mon Epouse devint encore grosse & le 8 Avril 1803 à une heure après midi elle mit au monde un fils auquel nous donnâmes le nom d'Albert, sa grossesse de ses couches furent encore, Dieu merci, aussi heureuses que la première fois. Le 19è du même mois mon Beau-frère Boeckel le baptisa dans ma maison comme le premier, les parrains & marraines furent le frère de ma femme Daniel, mon ancien ami Frédéric Piton, Rélieur à Strasbourg, Madame Elisab. Schwartz femme de Jonas Boeckel mon beau frère & Esther Boeckel sœur de ma femme & épouse de Jacques Kayser & la Cérémonie fut encore suivie d'un Banquet amical ; le petit Albert n'étoit pas si fort & si robuste que sa sœur aînée, mais malgré cela il se portoit bien ainsi que sa mère.

J'ai oublié de faire mention en 1803 d'un événement qui nous fit bien de la peine à ma femme & à moi c'est le déplacement de mon beau-frère Jonas Boeckel qui fut nommé Ministre à Gertweiler près Barr & qui quitta Rothau immédiatement après le Baptême de mon fils Albert. Ma femme surtout avoit beaucoup de peine à s'habituer à un isolement complet, elle avoit été pour ainsi dire élevée par son frère puisqu'elle avoir perdu son père en bas âge & que sa mère qui étant aubergiste avoit un grand ménage n'en pouvait pas avoir tous les soins qu'elle exigeoit - de plus Rothau & communément la maison presbitérale étoit depuis que son frère y fut Ministre son séjour presque habituel jusqu'au moment de notre Mariage & depuis que nous étions mariés nous avions régulièrement au moins une fois par Semaine la Visite de son frère & de sa femme que nous leur rendîmes tous les Dimanches nous avions à cet effet acheté une Voiture ensemble qu'il nous envoyait toutes les fois que nous voulions y aller, & maintenant toutes nos Visites réciproques avec les agréments qu'elles nous procuroient avoient fini tout à coup. Cependant comme il n'y avait pas de Remède il falloit bien s'habituer à supporter cette privation, nous allâmes encore de tems en tems à Rothau mais n'y trouvant plus les personnes qui nous furent si chères ce Voyage avoit perdu tout ses attraits & ce n'étoit que pour assister au Service divin que nous nous y rendions, quelquefois nous retournâmes à Framont immédiatement après d'autrefois nous dinâmes chez mon ancien ami Henry Kraff Aubergiste & Brasseur, ou chez Gerst Chirurgien - chez Mr Fuchs Ministre, mais tout cela ne remplit que très imparfaitement nos anciennes liaisons.

Vers la fin de cette Année 1805 arriva chez nous à Framont ma belle sœur Barbe Rippert femme de mon frère Léonard avec son fils Jacques en me racontant que son fils avoit quitté la maison paternelle furtivement qu'elle l'avoit suivi en poste & qu'elle me l'amenait en me priant de le garder chez moi ou de lui trouver une Pension dans le Voisinage, puisqu'il ne vouloit absolument pas retourner à Munich où son Père demeuroit alors ; elle resta quelques jours chez moi & s'en retourna ensuite en nous laissant son fils je m'informai de tout Côté pour lui trouver une Pension mais ne pouvant le placer ni à Rothau ni ailleurs dans le voisinage, j'en fis la Proposition à mon beau frère Boeckel à Gertweiler qui alors avoit encore plusieurs Pensionnaires, il consentit à le prendre & je l'y conduisis moi même, content d'en être débarrassé, mais il n'y resta pas longtemps. Un soir il revint accompagné d'un homme & avec une lettre de Boeckel qui me disoit qu'il ne pouvoit pas le garder plus longtemps parce qu'il le croyoit incorrigible - Je ne savois qu'en faire mais enfin je réussis à la placer chez Mr. Stoltz Ministre à Mittelbergheim, je l'y envoyai donc, il y resta jusqu'à l'arrivée de son père en 7bre 1808 que nous le plaçâmes chez Blum Ménuisier à Strasbourg pour apprendre le métier & en pension chez mon ami Piton rélieur, il y resta jusqu'en Mars 1809 où il se fit enrôler dans la Légion d'Isembourg ou La Tour d'Auvergne & partit pour l'Italie - puisse la discipline militaire opérer ce que ni la bonté ni la sévérité n'ont pu faire !

Vers le mois d'Octobre [1807] mon frère Léonard vint me voir à Framont je me rendis avec lui chez mon beau frère Boeckel & le lendemain à Mittelbergheim chez Stoltz pour voir Jacob, de là à Strasbourg.

En février [1811] je me rendis en ville pour quelques jours le 13 la femme de Boeckel accoucha d'un garçon - Eugène - en [été ?] ma femme avec Sophie & les petits se rendit à Strasbourg [puis ?] à Mittelbergheim & Gertweiler en laissant Sophie en Ville elle revint le 20 à Strasb avec son frère Jonas & le 23 Piton la conduisit à Brumath où je l'attendais. En juillet Julie vint chez nous sa mère vint le 3 Août resta jusqu'au 11 & [ramena ?] Julie - le 7 7bre Piton & Blumer vinrent nous voir. Au commencement de Juillet Boeckel & Küss étaient venus nous [voir ?] mais le 12 Boeckel ayant reçu de mauvaises nouvelles de sa femme repartit précipitamment, il m'écrit le 7 Août que sa femme a encore eu une rechute - vers le milieu de Septembre je me rendis encore en Ville.
Le 20 Octobre Madame Boeckel mourut, elle avait écrit le 20 Juillet à ma femme une lettre très longue mais aussi très extravagante & le 27bre à Mad. Brion une pareille.

26 mai 1820 - après souper nous allons encore voir Boeckel, qui loge provisoirement place des moulins maison Kratz, son logement à St Thomas, où il est nommé Pasteur, n'étant pas encore arrangé.

5 décembre 1820 - Jour de Noces de notre fille Richarde Sophie avec Mr Chrétien Frédéric Petri - M. Brunnemann Maire, fait la cérémonie de mariage civil dans mon Sallon, où mon beau frère Boeckel prononce ensuite un petit discours improvisé, à midi on se rend à l'Eglise où M. Horst prononce un discours & fait ensuite la Cérémonie religieuse - à deux heures on se met à table - le soir les jeunes gens se divertissent - MM. Müntz & Musculus partent pour Soultz.

6 décembre 1820 - Les frères & sœurs de Petri partent pour Bouxwiler, Mesd. Müntz & Musculus pour Soultz - préparatifs pour le déménagement - Petri & Sophie font leurs visites d'adieu au Village - le soir Salathé, puis Nicolas qui part pour Baerenthal avec Mad. Brion.

7 décembre 1820 - Boeckel avec sa femme & leur Caroline, Henriette Brion, Wilhelmine Stuber & notre Albert partent à 6 heures du matin pour Strasbourg. A 10 heures Sophie part avec son mari & ses Effets, la mère les accompagne pour aider à Sophie dans l'arrangement de son ménage, les adieux font couler nos larmes !


Ces quelques extraits ne sont pas les seuls où Jonas Boeckel est cité par Jean Valentin Haas, mais il serait vraiment fastidieux de les citer tous. En effet, Jean Valentin Haas se rendait très fréquemment à Strasbourg et il y passait alors quelques jours. Il allait alors dîner ou souper presque tous les jours chez Boeckel, il rencontrait des amis, où il rencontrait Boeckel chez leurs amis communs. Voilà en exemple quatre jours typiques à Strasbourg :

27.
Réglé mon compte avec Stuber - expédié les lettres pour les forges chez M. Renouard, discussion sur les intérêts sociaux & sur la Gérance - diné chez Jost, quelques visites - soupé chez Boeckel.
28.
Passé la matinée chez moi - diné chez Piton avec ma femme, après diné à sa Campagne - chez Granel & au Cabinet d'histoire naturelle.
29.
Visite de M. de Türckheim - chez M. Renouard, discussion sur la vente, les fonds &c. diné chez Boeckel - chez Franck où nous trouvons Mad. Drion - entrevuë avec Franck - chez Stuber - chez M. de Türckheim.
30.
M. Wittmann vient chez moi - puis M. de Türckheim, discussion sur la forêt de Dürckheim, sur la Gérance &c - chez M. Polidoro - diné chez Piton - quelques visites aux marchands & autres soupé chez Boeckel."
Carrière - 2 : 1803 ( Source )
De 1803 à 1820, il exerce son ministère à Gertweiler.
Carrière - 3 : 1820 à Strasbourg 67 Eglise Saint Thomas ( Source )
Enfin, de 1820 jusqu'à sa mort en 1834 il est pasteur à Saint-Thomas à Strasbourg.
Eléments biographiques : ( Source )
"Pour la centième fois il [Paul-Louis Weiss, le père de Louise Weiss] nous rappelait que sa mère [Emilie Boeckel] était fille de médecin [Théodore Boeckel] et petite-fille de pasteur, que son grand-père Jonas [Boeckel] avait évangélisé la vallée de la Bruche en compagnie du fameux Oberlin, lequel en inculquant Dieu et l'usage de la navette aux Troglodytes de la région, les avait transformés du même coup en chrétiens et en tisserands. Maire de Rothau, ce Jonas, à la naissance de son fils aîné, pris son collègue, le curé, comme témoin.
- C'est dire qu'il était peu sectaire, de commerce agréable et intelligent, soulignait ma mère.
- En 1793, le tribunal révolutionnaire de Sélestat le condamna à mort. Il ne fut sauvé que par la chute de Robespierre."
   Les destins de tous les Français se croisent. Je n’avais pas oublié mon compatriote Maximilien [Louise Weiss est née à Arras].
- En somme, philosophait ma mère, vos ascendants étaient des hommes de frontières, accoutumés à résister aux invasions. Ils attachaient du prix à vivre librement, à discuter à leur guise de leurs affaires, à exprimer leurs opinions. On ne pouvait les contraindre à rien.
- Ils appartenaient à ce type dolicéphale blond auquel Gobineau assigne une place supérieure dans la classification des races humaines, ajoutait mon père.
- Et dans quel charabia s’exprimaient ces gens supérieurs ? lui rétorquait ma mère.
   Le ton de ma mère remettait à sa place le vantard. Mon père était bien obligé de convenir que, la proximité de la Lorraine aidant, ses ancêtres usaient d’un patois particulièrement affreux, le “Lixheimer Welsh” ou “Français de Lixheim” qui ne combinait même pas deux langues, mais une langue et un dialecte : le français et l’alsacien.
- Quant à leur religion, ajoutait-il, ils la confessaient sans fanatisme : c’était celle de Luther. Dans l’unique église de la Petite-Pierre, les offices catholiques alternent encore avec les offices protestants.
- C’est bien, disait ma mère.
- Qu’ils fussent de la montagne [les Weiss] ou de la plaine [les Boeckel], les miens, concluait mon père, ne ressemblaient pas du tout aux tiens, ces gens de banque si dépourvus de sentiments militaires. Ils se groupaient contre leurs seigneurs pour la défense de leurs libertés communales. Et quand ils parvenaient à se saisir des pillards entretenus par les féodaux des crêtes, ils les noyaient dans l’Ill, une pierre au cou.
- C’est encore mieux, disait ma mère.”

Louise Weiss, Mémoires d'une Européenne (Albin Michel, 1968)
Décès : 5 mars 1834 à Strasbourg 67 ( Source )

Père : BOECKEL Andréas ( 1740 - 1784 )
Mère : BITTERLIN Anna-Richardis ( 1739 - 1817 )

Union 1 : SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth" ( 1773 - 1811 )
Mariage : 30 septembre 1793 à Rothau 67 ( Source )
Mémoires de Jean Valention Haas : 1803
Voici ce que Jean Valentin Haas écrit dans ses mémoires à propos du couple de son beau-frère Jonas Boeckel et de sa première femme Elisabeth Schwartz :

"Mon Epouse devint encore grosse & le 8 Avril 1803 à une heure après midi elle mit au monde un fils auquel nous donnâmes le nom d'Albert, sa grossesse de ses couches furent encore, Dieu merci, aussi heureuses que la première fois. Le 19è du même mois mon Beau-frère Boeckel le baptisa dans ma maison comme le premier, les parrains & marraines furent le frère de ma femme Daniel, mon ancien ami Frédéric Piton, Rélieur à Strasbourg, Madame Elisab. Schwartz femme de Jonas Boeckel mon beau frère & Esther Boeckel sœur de ma femme & épouse de Jacques Kayser & la Cérémonie fut encore suivie d'un Banquet amical ; le petit Albert n'étoit pas si fort & si robuste que sa sœur aînée, mais malgré cela il se portoit bien ainsi que sa mère

Le 8 février [1807] mourut Madame Schwartz belle mère de Jonas Boeckel frère de ma femme. Cet événement très naturel en rien moins qu'inattendu, parce que Mme Schwartz était très agée et d'une complexion très faible, influa si fort sur la tête ou sur le système nerveux de sa fille Lisette femme de mon beau frère Boeckel qu'elle en perdit la raison au point qu'il fallut l'enfermer & lui ôter l'usage de ses mains puisqu'elle déchirait & cassait tout de dont elle put se saisir. Ce triste état dura assez longtemps sans interruption & quoiqu'à force de remèdes on parvint à la rétablir, elle a eu depuis ce moment de si fréquentes rechutes que Boeckel ne peut plus être tranquille un moment.

[En 1810] plusieurs lettres de mon beau frère Boeckel nous donnèrent des nouvelles tantôt rassurantes tantôt équivoques de la santé de sa femme - il nous annonça deux fois sa visite mais chaque fois il fut obligé d'y renoncer à [cause ?] de sa femme.

Au commencement de Juillet [1811] Boeckel & Küss étaient venus nous [voir ?] mais le 12 Boeckel ayant reçu de mauvaises nouvelles de sa femme repartit précipitamment, il m'écrit le 7 Août que sa femme a encore eu une rechute - vers le milieu de Septembre je me rendis encore en Ville.

Le 20 Octobre [1811] Madame Boeckel mourut, elle avait écrit le 20 Juillet à ma femme une lettre très longue mais aussi très extravagante & le 27bre à Mad. Brion une pareille. "
Enfants : BOECKEL Edouard ( 1794 - 1838 )
BOECKEL Sophie ( 1797 - 1863 )
BOECKEL Julie ( 1800 - ? )
BOECKEL Théodore ( 1802 - 1869 )
BOECKEL Guillaume ( 1803 - 1803 )
BOECKEL Henriette ( 1805 - 1847 )
BOECKEL Charles ( 1808 - 1893 )
BOECKEL Eugène ( 1811 - 1896 )
Union 2 : KRATZ Frédérique Hélène ( 1768 - ? )
Mariage : 16 septembre 1813 ( Source )
Voici ce que Jean Valentin Haas écrit dans ses mémoires à propos du couple de son beau-frère Jonas Boeckel et de sa deuxième femme Frédérique Kratz :

"Au commencement de Août [1813] Boeckel vint me voir avec Mlle Fred. Kratz sa fiancée, il resta plusieurs jours avec nous pendant lesquels nous fîmes des excursions dans les environs à la petite pierre à la Verrerie de St Louïs & à son départ je l'accompagnais à Strasbourg & dans un petit Voyage de l'autre côté du Rhin.

Le 16 Septembre [1813] mon beau frère Boeckel épousa Mlle Fréd. Kratz."

Il n'y a aucune trace de naissance d'enfant de ce couple entre 1813 et 1820 dans les registres de naissance de Gertwiller où ils ont résidé jusqu'à ce que Jonas Boeckel soit nommé pasteur à Saint-Thomas. On peut raisonnablement en déduire que Jonas Boeckel n'a pas eu d'enfant de Frédérique Kratz. (HF - 22/12/2010)
BOECKEL Jonas
BOECKEL Andréas
BOECKEL Jonas
RIEFFEL Anna Catharina
BITTERLIN Anna-Richardis
BITTERLIN Andreas
KAYSER Esther




BOECKEL Jules
médecin

Naissance : 2 octobre 1842 à Strasbourg 67 ( Source )
Eléments biographiques : vers 1900 ( Source )
Nous comptions dans la ville [Strasbourg] deux oncles Jules. Tambour battant, mon père nous emmenait voir l’un deux, un chirurgien dont la réputation s’étendait de Belfort à Metz.
- Un des rares de l’élite qui soit resté, constatait-il.
   Ce premier oncle Jules portait le visage émacié des anciens Huguenots. Ses yeux clairs flamboyait au-dessus de ses sourcils en broussaille ; une pomme d’Adam se déplaçait tantôt au-dessus, tantôt au-dessous de la cassure de son col, et il manoeuvrait ses bras et ses jambes comme des ciseaux. En quarante-quatre ans, il n’avait jamais salué un Prussien. Des drapeaux français étaient cachés derrière son poêle, et le dimanche, chez lui, il enfilait un pantalon garance, celui avec lequel il voulait faire sa rentrée en Alsace mêlé aux régiments de France.

Louise Weiss, Mémoires d'une Européenne (Albin Michel, 1968)
Décès : 1927 ( Source )

Père : BOECKEL Charles ( 1808 - 1893 )
Mère : KAMMERER Louise "Emilie" ( 1807 - 1881 )

Autre enfant : BOECKEL André ( 1882 - 1933 )
BOECKEL Jules
BOECKEL Charles
BOECKEL Jonas
SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth"
KAMMERER Louise "Emilie"
KAMMERER Philippe Jacques
LAFORET Emilie Joséphine




BOECKEL Julie
Naissance : 18 octobre 1800 à Rothau 67 ( Source1 Source2 )
Trouvé le 21/12/2010 sur AD Bas-Rhin en ligne : 26 vendémiaire an IX

C'est donc elle la filleule de Jean Valentin Haas ainsi qu'il le raconte dans ses mémoires :

"Le séjour de Framont quoique dans le fond beaucoup moins agréable que celui que je venais de quitter avoit également beaucoup plus d'attraits pour moi en ce qu'il me procuroit la facilité de voir très souvent mon ancien & intime Ami Boeckel Ministre à Rothau, peu de tems après mon arrivée à ma nouvelle Destination [28 juin 1800] sa femme étant accouchée d'une fille il me proposa d'en être le Parrain, proposition que j'acceptois avec Plaisir. "

Mémoires de Jean Valentin Haas : ( Source )
Voici ce que Jean Valentin Haas écrit dans ses mémoires à propos de sa nièce Julie Boeckel :

"En février je me rendis en ville pour quelques jours le 13 la femme de Boeckel accoucha d'un garçon - Eugène - en [été ?] ma femme avec Sophie & les petits se rendit à Strasbourg [puis ?] à Mittelbergheim & Gertweiler en laissant Sophie en Ville elle revint le 20 à Strasb avec son frère Jonas & le 23 Piton la conduisit à Brumath où je l'attendais. En juillet Julie vint chez nous sa mère vint le 3 Août resta jusqu'au 11 & [ramena ?] Julie - le 7 7bre Piton & Blumer vinrent nous voir. Au commencement de Juillet Boeckel & Küss étaient venus nous [voir ?] mais le 12 Boeckel ayant reçu de mauvaises nouvelles de sa femme repartit précipitamment, il m'écrit le 7 Août que sa femme a encore eu une rechute - vers le milieu de Septembre je me rendis encore en Ville.
Le 20 Octobre Madame Boeckel mourut, elle avait écrit le 20 Juillet à ma femme une lettre très longue mais aussi très extravagante & le 27bre à Mad. Brion une pareille.

le 10 May [1812] Boeckel était venu chez nous avec sa Julie & la Soeur de David Müller

3 juin 1816 - Boeckel arriva avec sa femme et Julie il resta jusqu'au 7 alors Boeckel part et je me rends au Grafenweyer où je dine après midi. je me rends avec Glonner à Steinbach, Katzenthal & au Ban de Wingen où Meixner me propose d'ouvrir une recherche de minerai en roche ; après avoir examiné la place et donné des ordres je m'en retourne par Steinbach le Wineckerthal & Jaegerthal, à Niederbronn.

30 août 1820 - Braunwald arrive avec sa femme & Julie Boeckel, la première doit prendre les eaux, elle loge chez nous.

15 octobre 1821 - Au Service divin à St Thomas - diné chez Boeckel - après diner parti avec lui pour Mittelbergheim, nous voyons en passant Braunwald à Gottsweiler, Mad. Boeckel & Julie à Barr.

23 novembre 1821 - Je travaille chez moi jusqu'à dix heures puis me rends chez Jost ensuite chez M. Voltz, qui me communique l'arrêté du Préfet qui fixe l'assemblée du Comité d'Evaluation pour lundi 26 Ct à 10 heures du matin, discussion sur différents objets - retourné chez Jost avec lequel je dine au Corbeau - après midi chez Wittmann le soir avec Julie B. chez Schneegans, puis chez Haufé, ensuite chez Boeckel où je soupe."

Père : BOECKEL Jonas ( 1764 - 1834 )
Mère : SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth" ( 1773 - 1811 )

Union : BECK Maurice ( 1788 - 1871 )
Mariage : 7 juillet 1824 à Strasbourg 67 ( Source )
Enfants : BECK Jules Maurice ( 1825 - 1904 )
BECK Emilie ( <> 1826 & 1832 - ? )
BECK Théodore ( <> 1826 & 1832 - ? )
BOECKEL Julie
BOECKEL Jonas
BOECKEL Andréas
BITTERLIN Anna-Richardis
SCHWARTZ Marguerite "Elisabeth"
SCHWARTZ Jean
METZLER Anne Elisabeth


                     


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